"- Je t'aime, voilà c'est dit ! - Pas moi, voilà c'est répondu" ▬ aleksander

☆ **DATE D’ARRIVÉE** : 27/10/2013

Maximilian Aleksander Jakobsen

Ma copine voulait que je change, j'ai changé de meuf.
(c) crédit ~ .tumblr.com
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prénom nom ~ Maximilian Aleksander "Alek" Jakobsen. âge ~ 21 ans dans l'année de ses 22. date et lieu de naissance ~ 20 Décembre 1992 à Lillehammer. origines/nationalité ~ Norvégienne. sexualité ~ Hétérosexuel. statut civique ~ Célibâtard. statut familial ~ Légérement compliqué, pour faire simple, j'en ai pas. métier/études ~ Accessoirement, étudiant en licence d’entraînement sportif et majoritairement dealer. caractère ~ Généralement de merde. Mais sinon il est : Mystérieux, Déterminé, Caractériel, Franc, Drôle, Protecteur, Possessif. groupe ~ les inrocks.

☆ questions have been asked.

depuis quand es-tu à seattle et que penses-tu de cette ville ~ Je suis à Seattle depuis environ cinq ans et j'adore cette ville, même s'il y pleut tout le temps, enfin ça peux pas être pire qu'a Lillehammer. est-ce que tu comptes rester toute ta vie à seattle, pourquoi ~ J'en sais rien, pourquoi pas. Pour l'instant je m'y plait alors j'y reste. quel est ton endroit préféré à seattle ? ~ Le Madison Park, j'y passe le plus clair de mon temps, et j'adore aller jouer au basket là-bas, ou encore au foot. qu'as-tu vécu de plus fou dans cette ville ? ~ Rencontré mes meilleurs amis, ses mecs sont complètement con et c'est pour ça qu'on doit s'entendre aussi bien. Si je reste a Seattle, c'est sûrement grâce à eux.

Alek vis à Seattle depuis cinq ans. Il se fait appelé Alek depuis son arrivé en ville. ☆ Très mystérieux, personne ne connait vraiment sa vie. Il n’en parle à personne, même ses meilleurs amis ne savent rien, d’ailleurs personne ne sais comment il s’appelait avant, il est et sera toujours Alek pour les habitants de la ville. ☆ Il s’est fait virer de chez lui par sa mère, elle l’a envoyé chez son père biologique qu’il ne connait pas. Depuis qu’il a quitté la Norvège, il n’a aucune nouvelle de sa mère et de sa sœur. ☆ Il a toujours été très proche de sa petite sœur, et même si il ne le montre pas, il est très affecté par son absence. ☆ Le sport est son unique réelle moyen de décompresser, c’est pour sa qu’il veut en faire sa vie, même si avec son passé/présent dans la drogue, il sait que ça sera dur. ☆ Il n’a plus touché sa guitare depuis cinq ans, même si Tomas –son père biologique- lui en a racheté une, cela lui rappelle trop de souvenirs. ☆ Il vit en colocation avec quatre autre garçons avec qui il s’entend très bien, sans aucunes ambiguïtés. ☆ Il n’a eu qu’une seule vraie histoire d’amour, en Norvège qui s’est terminé juste avant son arrivé en ville. Depuis, ses relations se résume a des plans cul et de histoire sans lendemain.

prénom/pseudo ~ _Shiine. âge ~ 21 ans. pays ~ France. fréquence de connexion ~ 5/7 jours. avis sur le forum ~ I love it, palapapapa McDonald, venez comme vous êtes. arrivé ici par ~ ha ha, t'aimerais bien savoir ?! Bah tu sera pas parce que j'ai pas envie de le dire (c'est _Lauu). scénario ou pi ~ Personage inventé de toute pièce, tout fait réel serait une pure coïncidence. avatar ~ Niall perfect beautiful and sexy irish one Horan. code à remplir ~

Code:: [b]Niall Horan[/b] ~ Aleksander Jakobsen.

☆ **DATE D’ARRIVÉE** : 27/10/2013

☆ we all got stories to tell.

Il était une fois, c’est comme ça que commence toutes les histoires dans les contes de fées. Mais si ta vie n’est pas un conte de fées, tu fais comment pour débuter ton histoire ?! Bien sûr, quand tu nais, tu ne sais pas encore si ton histoire va tourner à l’eau de rose ou au vinaigre. Alors, on reprend où on en était.

CHAPITRE UN : LA NAISSANCE. Il était une fois, comme dans toutes les histoires, la naissance d’un amour vrai et sans artifice. Lorsque cet amour vit le jour, personne ne croyait en cette liaison, et qu’au bout de quelques mois, cette liaison donnerait naissance à l’être le plus pur du monde –je ne dis pas que cette dame a accouché d’un ange, parce que les anges n’existent pas, tu te vois vraiment te balader dans les rues en culotte courte et des ailes ?!- Ce que je veux dire, c’est que l’être le plus pur du monde, et le plus neutre n’est autre qu’un bébé. Oui, un bébé, le petit truc à joues roses et joufflues. On ne pouvait cependant pas dire que cet enfant allait vivre dans les meilleures conditions, la mère du petit était mineure et le père lui, était un touriste en vacances en Norvège. Un accident, voilà ce qu’il était. La mère n’eue d’autre choix que de le garder, car il était trop tard… Attachée à cet être, elle le garda, mais sans l’aide de ses parents, elle a dû arrêter ses études, elle dû trouvé un travail, serveuse, vu ses diplômes, elle ne pouvait pas espérer mieux. Le père lui, était reparti pour l’Angleterre, lorsqu’elle l’apprit, elle n’avait aucun moyen pour le contacter pour le moment… Elle ne savait pas comment elle allait lui annoncé et comment elle allait le retrouvé avec un simple nom et un prénom, mais elle trouverait, elle en était certaine, pour le bien de son enfant.

CHAPITRE DEUX : L'HEURE DES PRÉSENTATIONS. Cela faisait deux ans que cet enfant était né, et presque un an que ce petit garçon avait un père, pas son biologique, mais il avait un père et en fait c’est ce qui importait pour la jeune mère. L’homme était un peu plus âgé que la jeune femme, mais il s’occupait de cet enfant comme si s’était le sien. C’est un coup de fil plutôt inquiétant qu’avait reçu les jeunes parents. « Rendez-vous au parc pour enfants, demain à quinze heures, sur votre banc habituel. Je suis désolé ! » Disait le message, demain c’est dimanche et comme tous les dimanches, les deux jeunes emmenaient l’enfant au parc de la ville de Lillehammer, ils s’installaient toujours sur le même banc pour regarder leur fils jouer dans le sable. Quelqu’un les épiaient, et était désolé. De quoi ?! De les suivre ?! Ou d’un acte passé ?! Même si lui, ne comptait pas changer ses habitudes et aller quand même au parc afin de voir qui osait les suivre, lui et sa famille, elle avait peur, comme n’importe quelle mère dans cette situation. Assis, tous les deux sur leur banc, regardant leur fils et un peu partout dans le parc afin de voir qui les épiait, ils entendirent une voix derrière eux. « Comment s’appelle mon petit-fils ?! » Une voix féminine, que la mère reconnue immédiatement. « Maman ?! » « Qu’est-ce que vous nous voulez ?! » Même si la voix de la mère était prête à tout pardonner à la sienne, celle de son copain, lui était loin de montrer la sympathie qu’il éprouvait. Il ne voulait pas oublier la merde dans laquelle sa « belle-famille » avait mis sa fiancée, il ne comprenait pas comment ils avaient pu laisser leur fille de dix-sept ans avoir un enfant toute seule... « Je veux simplement connaître mon petit-fils, jeune homme ! » « Tu as eu deux ans pour savoir comment il allait, depuis quand il t’intéresse ?! » En fait, la voix qui était prête à tout pardonner avait laissé place à une voix protectrice. Cette dernière se rappelait-elle la peine qu’elle avait ressentie et la honte qui était apparu dans les yeux de ses parents lors de l’annonce ?! Il y a de forte chance. « Ma chérie, je n’ai jamais voulu couper les ponts avec toi, c’est ton père qui le voulait ! Apprendre cette grossesse était un choc pour lui, et d’un inconnu en plus, il ne l’a pas supporté. && tu sais combien les apparences compte dans le métier qu’il fait, alors avouer que ça fille avais eu des relations avant le mariage et avec un inconnu c’était au-dessus de ses forces. Il voulait mieux pour sa petite fille. J’ai dû attendre que le divorce soit prononcé, mais je n’ai jamais cessé de venir vous voir devant chez vous ! » Une bombe. Voilà ce que la grand-mère venait de lâcher. Le père de la jeune mère était pasteur dans une petite ville à côté de Lillehammer, cependant la jeune fille ne comptait pas laisser son fils voir sa grand-mère. Elle sorti de son sac une photo, se leva et la tendis à sa mère. « Il s’appelle Maximilian Aleksander Jakobsen, il est né le 20 Décembre il y a deux ans. Ça c’est une photo, maintenant, part de ma vie, et n’entre pas dans la sienne ! On vit très bien sans toi ! » « Joanne ! » Le père adoptif regardait sa fiancée, oui il n’acceptait pas le fait que sa mère l’ai abandonné, mais elle avait de bonne raison et voulais se racheté, et puis de l’aide supplémentaire ne serait pas de refus. La grand-mère voulait s’expliquer, mais Joanne était allé chercher son fils et quittais le parc. L’homme s’excusa auprès de la mère de sa fiancée avant de la suivre.

CHAPITRE TROIS : POURQUOI ? Il faut l’avouer, l’annonce de la mère de Joanne avait quelque peu chamboulé la vie des jeunes parents. Joanne essayait de vivre avec le fait qu’elle est rejetée sa mère, mais ils avaient décidé de ne pas en parlé entre eux. « Maman ?! Ils sont ou mes pépés et mes mamies ?! » La voix du petit garçon de cinq ans raisonna dans l’appartement. Le teint de Joanne passa au blanc. « Allez Maxim’, on va dormir ! » Sortit le jeune homme en prenant son fils sur son épaule. « Papa ?! » « Allez, dors mon grand, tu as école demain ! » Le petit se tue alors et ferma les yeux attendant le marchand de sable. En arrivant dans la pièce où il avait laissé sa fiancée quelques minutes plus tôt, il la découvrit en larmes. « Stein ?! Tu crois que j’ai fait le bon choix ?! Que j’ai le droit de le couper de sa famille ?! » Stein s’installa prêt de la jeune femme, en lui prenant la main. « Tu as fait le choix qui te paraissait juste. » […] Quelques mois s’était écoulé depuis cette conversation, et Noël approchais à grand pas. Mais un autre événement approchait, la naissance d’un enfant supplémentaire dans la famille. En effet Joanne était enceinte. Les préparatifs d’un Noël avec la famille de Stein avançaient à merveille. « Mets deux couverts de plus chérie ! » La jeune fille ne rechigna pas, et ajouta deux couverts, « Ton frère peut venir ?! C’est super ! » Il hésita un moment avant d’annoncer, « Oui, je suis ravi de le revoir après cinq ans, mais il vient seul… » « Pourquoi deux couverts alors ?! » Joanne regarda son fiancée, qui avait une expression coupable… « Tu n’as pas osé inviter ma mère quand même ?! » A l’expression de Stein, Joanne savait qu’elle avait visé juste. L’annonce avait jeté un froid sur le couple, mais l’arrivé du frère de Stein surpris encore plus. « Joanne, je te présente mon frère … » Bouche bée, cette dernière lâcha « Tomas … » Il ne fallut pas plus de temps à Stein pour comprendre, l’expression de sa fiancé était clair comme de l’eau de roche. Un silence régnait dans l’appartement. Silence rompu par les rire du petit garçon devant la télé. Les trois jeunes se regardèrent et tous comprirent. […] La soirée se finissait, Joanne n’avait pas digéré le fait que Stein ai invité sa mère, d’ailleurs elle ne lui avait pas adressée la parole de la soirée. Une fois le petit couché, l’appartement était calme, trop calme. « Comment tu as pu me cacher que le père de Maxim était mon frère ?! » Une espèce de rire sorti de la gorge de Joanne. « Je vais être clair, il m’avait dit s’appelé Tomas Larsen, comment j’aurais pu faire le rapprochement ?! Maintenant, sort de ma vie et de celle de Maxim ! » Un regard d’incompréhension s’afficha sur le visage du jeune homme. « A cause de ta mère ?! » La réponse paraissait logique pour Joanne. Une longue discussion et surtout dispute éclata dans l’appartement. Les cris fusaient des deux côtés, mais un coup un seul termina la dispute et la chute de Joanne, puis un cri, un cri déchirant… Du sang…

CHAPITRE QUATRE : DIRE LA VÉRITÉ. La violence du coup avait été telle, que cela faisait un an que Joanne était dans le coma, Stein s’occupais de Maxim et de Maja, la petite était née deux mois plus tard, et elle portait le deuxième prénom de sa mère. Stein avait mentit sur les circonstances de l’accident « Mon bébé, ou est mon bébé ?! » La jeune femme se réveilla paniqué, en tournant la tête dans tous les sens, elle aperçut Stein… Alors que les médecins arrivaient dans la pièce elle hurla : « J’avais pensée être claire, je veux plus de toi dans ma vie ni dans celle de Maxim ! » Les médecins ne comprenaient rien. « Chérie… » C’était une voix suppliante… « Rend-moi mon bébé et tire-toi ! » Les médecins devaient prendre les signes vitaux de Joanne et le jeune homme du partir avec la petite dans les bras sous les hurlements de l’ancienne comateuse. Une fois la visite terminée, Stein pu revenir dans la chambre de là, les médecins prirent la petite Maja et le jeune Maxim avec eux avant d’appeler la sécurité. Joanne leur avaient annoncé que c’était de sa faute si elle était là ou elle était aujourd’hui.

CHAPITRE CINQ : JE T'AIME JUSQU'AUX ETOILES ET PLUS ENCORE. Tu ne connais pas l’amour ?! Tu as raté ta vie. L’amour fait partie de la vie, quoi qu’il arrive. De différentes manières, mais la plus belle c’est l’amour indescriptible que l’on peut porter à un être que l’on veut à ses côtés jusqu’à la fin de sa vie. Il commence par un regard, puis des paroles échangées, puis des actes échangés. Depuis que Joanne à quitter l’hôpital, il s’en est passé du temps. Maxim avait maintenant quatorze ans. Quatorze ans, ont y connait quoi à l’amour allez-vous me dire ?! Pas grand-chose, mais on est naïf… « Je t’aimerais toujours Karo ! » « Tu es mon premier amour Maxim rien ne nous séparera » Vous trouvez ça niais ?! C’est bien vrai, et Maximilian se trouve niais lorsqu’il repense à cette période de sa vie, mais il ne peut s’empêcher d’y repenser encore et encore, c’est l’amour et on n’oublie pas un premier amour comme ça !

CHAPITRE SIX : IL PARAIT QUE LE PASSE NOUS RATTRAPE TOUJOURS ? MALHEUREUSEMENT. Un papier qui tombe de son casier, un sourire qui s’efface lorsqu’il voit que ce n’est pas celle qu’il aime qui lui envoi, comme à chaque fois qu’un papier tombe de son casier. « On l’a, rejoins-nous à l’entrepôt, ou tu ne la verras plus qu’en petit morceau. » Soudain, un flash-back avec une conversation qu’il avait jugé inutile de poursuivre. En même temps, il se fichait bien du passé de Stein, ou encore de Tomas ils avaient été jeunes, les erreurs, tout le monde en fait. Mais là, ces bulldogs osaient s’en prendre à la personne qui comptait le plus pour Maxim, alias Karolina, sa petit-amie. C’est donc tête baissée qu’il quitta le lycée sans même avoir terminé sa journée pour voir celui qui osait s’en prendre à elle. A son arrivée, un mexicain s’approcha de lui dangereusement. Mais lorsqu’il dit qu’il est prêt à tout pour elle, ils ont raison. Maxim n’avait jamais ressenti une telle force en lui, et le mexicain ne se releva pas de suite. « C’est toi qui ose t’en prendre à mes gars ?! Joli coup ! » « C’est toi qui ose t’en prendre à Karo ?! Parce que le coup risque de finir sur ta gueule ! » Maxim ne savait pas dans quoi il s’embarquait, et c’était bien dommage. On ne s’attaque pas à ce que l’on appelle « un baron de la drogue » sans une assurance, ou au moins sans avoir prévenu quelqu’un. « Viens donc t’asseoir petit ! » annonça l’un d'eux en s’installant sur un gros fauteuil. Maxim se serait cru dans un vieux film de mafieux, mais ne s’assit pas pour autant. « A ta guise ! Je vois que tu as reçu notre message, et j’ai appris que tu as voulu tourner le dos à ton héritage. Cela ne me plaît pas ! » « Écoutez monsieur, ce n’est pas mon héritage, ce ne sont pas mes erreurs, voyez ça avec les personnes concernées. && rendez-moi Karo, elle n’a rien fait ! » « Tu vois, le problème c’est qu’on nous a indiqué que tu étais la personne concernée, c’est donc ton héritage, petit ! » Que lui racontait-il, la personne concernée, son regard montrait à quel point il était perdu. C’est un sourire satisfait qui s’affichait sur le visage du gros. « On te rendra ta précieuse une fois que tu auras fait une petite course pour nous. » Un sachet plastifié blanc se posa sur le bureau. « Va ! Nous t’enverrons les indications par SMS dans la soirée. » Une simple livraison, et il récupère celle qu’il aime, marché satisfaisant. […] « N’oublie pas notre deal petit. » Encore un SMS de Fuentes, mais il tenait Maximilian avec Karo depuis une semaine maintenant. Certes il avait rendu Karolina à Maxim suite à la livraison, mais il avait été clair, Maxim lui appartenait à présent, et au moindre écart Karo finirait dans un ravin.

CHAPITRE SEPT : LES HAPPY ENDING N'EXISTENT PAS. « Babe’ dis-moi ce qu’il se passe, tu as changé depuis que ces gars m'ont enlevé. » « Rien ma puce, t’inquiète ! » && un mensonge de plus s’ajouta à sa liste. Cela faisait maintenant trois mois que pour la protéger, elle et sa famille, Maximilian dealait. […] « Tu m’avais promis Max’ ! Ne jamais me mentir ! Tu l’avais juré. » C’est la fille qu’il aimait qui était en pleurs devant lui, mais il ne pouvait rien faire, ni la prendre dans ses bras, ni lui dire que ce n’était pas ce qu’elle croyait. Oui, car c’était bel et bien ce qu’elle croyait, elle l’avait vu dealer à la sortie des cours, la veille et se faire arrêter pas la Politiet, alors que cela faisait une semaine qu’il se faisait porter aux abonnés absents. C’était un mois plus tard, et malgré les efforts, Maxim avait changé, il n’était plus le même, et il s’était renfermé. Pour la protéger, qu’il disait. Mais au fond, il se sentait comme un lâche. « Répond-moi quand je te parle ! » Les larmes sur ses joues redoublaient tellement qu’à ce stade, elle ne devait sûrement plus rien voir. « Tu veux que je dise quoi ?! Que je suis ravi d’en être arrivé à ce point ?! Maintenant, casse-toi ça vaut mieux pour toi ! » « M … Mais … » « Casse-toi, je t’ai dit » Ses talons se tournèrent. && là, une scène des plus cliché se déroulait sous les yeux du jeune homme, la rupture sous la pluie. Ce soir-là, il sortait de garde à vue, il s’était fait arrêté pour possession de drogue, trop petite quantité pour être enfermé en prison mais juste assez pour être arrêter et gardé au frais une journée. Sa mère avait dû payer une caution pour sortir, en rentrant trempé dans l’appartement familial, sa sœur lui sauta dans les bras. Il ne comprenait pas jusqu’au moment où il vit sa mère descendre du petit étage avec une valise et un sac. « Mamma ! » Une main s’abattu avec violence sur le visage du jeune homme. « Je n’ai plus de fils, il n’existe plus ! De la drogue ?! Tu deal de la drogue ! Hore, je pensais t’avoir mieux élevé que ça ! » La voix de sa mère s’élevais au fur et à mesure, les yeux de sa sœur s’embrumèrent tandis que son cœur lui, se brisait. « Tu pars chez Tomas, je ne veux plus te voir ! Tu prends un taxi maintenant, et tu te barre ! » Résigné le jeune blond pris ses sacs et sorti de l’appartement. Une dizaine de minutes plus tard, il était dans son taxi en direction de l’aéroport. « Je suis envoyé à Seattle, file-moi l’adresse de ton gars là-bas ! » L’homme qui reçut se SMS eu le rictus le plus affreux que l’on pouvait avoir, « T’inquiète pour l’adresse, je te l’envoie dans trois jours ! » Maximilian savait que s’il voulait se sortir de ses merdes c’était maintenant ou jamais, mais ce fus plus fort que lui, envoyé se message signifiais qu’il faisait partie de la « bande » et que sa famille serait saine et sauve. […] Quelques heures plus tard, Tomas, son père biologique le récupéra à l’aéroport. Une fois installé dans son nouveau chez lui, son père essayait de faire la conversation, mais ce n’était pas au gout du jeune homme. « Ecoute si je suis là c’est à cause de tes conneries et celle de ton frère, alors crois pas qu’on va devenir copain ! T’es rien pour moi, juste un nom sur un papier, ta famille n’es rien, tu ne me dois rien et inversement, toi et moi on est juste des colocataires. » Ce fut les seuls mots que prononça Maxim’ à son père. […] Alek, était dans un parc, oui à présent le garçon se faisait appelé Alek, il attendait sagement que le contact de Fuentes le contact. « Maximilian ?! » Par habitude, Alek leva le regard vers son correspondant, et d’un anglais peu assuré il répondit. « Maintenant c’est Alek, fais passer le mot ! » Le jeune lui sourit, celui-ci était à peine plus âgé que lui, ce qui le mit en confiance. « Très bien Alek, moi c’est Paco ! C’est Fuentes qui m’envoie, bienvenue à Seattle ! » Alek remercia le ciel d’avoir été aussi attentif à ses cours d’Anglais. Du coup il parlait assez bien malgré son accent très prononcé. Les deux jeunes apprirent à faire connaissance, Paco faisait visiter les endroits de Seattle, lui faisait un topo sur ses prochains clients, son école, beaucoup de ses nouveaux clients étaient dans son établissement scolaire.

CHAPITRE HUIT : MALGRE TOUT ON PEUX FAIRE DE BELLES RENCONTRES. Les vacances terminé, Alek se rendait dans son nouveau lycée. Adosser à la barrière de l’établissement, il fumait sa deuxième cigarette de la journée, il s’était déjà bu deux café depuis cinq heure du matin. Il avait passé la nuit avec Paco dans une discothèque à côté de la ville, on l’avait présenté à d’autres dealers, mais Alek avait passé sa nuit dans les bras d’une petite américaine à la recherche de sensation forte et d’interdit. Elle avait payé pour quelques cachets et avait proposé au jeune homme de poursuivre la soirée. Tout cela pour dire qu’Alek était dans le mal pour la rentrée, l’entente de la sonnerie raisonna dans sa tête, et le blond regretta de ne pas avoir pris d’aspirine avant de venir. Il faisait sa rentré en première toutes les bandes allaient déjà être formé de l’année précédente. Il s’était installé au fond de la salle de cours pour dormir… « Jeune homme ?! MONSIEUR QUI DORT AU FOND DE LA SALLE ! » Ce cri réveilla Alek qui se frotta les yeux, il s’étira « Un problème M’dame ?! » Toute l’assemblée d’élèves s’était retourné. Malgré son accent toujours prononcé, Alek avait pris de l’assurance dans son parlé en deux mois, il parlait même parfaitement bien l’anglais. « Votre nom, Monsieur je perturbe la classe le premier jour de classe ?! » « Aleksander Jakobsen, avec des « K » ! » Oui tout le monde écrivait son prénom avec un X et son nom avec un C « Vous viendrez en colle à la fin des cours ! » Le jeune homme soupira en levant les yeux au ciel. […] La professeure de littérature accompagnait Alek dans le gymnase, arrivé, elle lui tendit des gants et une spatule « Tu décollera les chewing-gum sous les bancs ! » Alek regardait interdit sa professeure. Il s’exécuta quand même, mais quelques minutes plus tard, l’envie prit le dessus sur le jeune homme. Un ballon de basket sortit, il commença à shooter, il avait toujours doué en sport, quel qu’il soit, c’est le seul moyen pour lui de se sentir lui-même et lorsqu’il en fait c’est le seul moment où il n’a pas envie d’être défoncé. […] Assit dans les gradins du gymnase, Alek regardais les deux premières équipes s’affronter au basket, riant aux erreurs tactiques de ses camarades. Apparemment il n’était pas seul à penser la même chose des dix joueurs sur le terrain. && ils n’avaient pas dû être très discret « Les cinq branquignole qui s’amuse dans les gradins, descendez ! » hurla le professeur de sport. Alek voyait son doigt le pointé sur lui et suivis du regard les quatre autres qu’il avait désigné. « Oui, vous cinq ! BOUGEZ-VOUS ! » Alek se leva les pieds trainant, l’un deux allait recevoir le ballon en plein ventre met l’intercepta à temps. « Et bien jouer ! » Alors qu’Alek allait répliquer, le plus typé des quatre demanda : « Contre eux ?! Sérieusement ?! » Un rictus s’afficha sur le visage du norvégien, lui qui pensait être le seul un peu rebelle dans ce lycée de bourgeois était ravi. « Ne me prenez pas pour un con, contre eux, bien sûre, c’est leur troisième année de championnat, vous vous pensez si fort que ça, vous voulez que j’appelle la NBA peut-être ?! » C’est un bouclé qui répondit cette fois-ci « Vous êtes allé jusqu’où avec ça ?! » Il désigna l’équipe contre qui ils devaient jouer. Un autre répondit au bouclé comme s’il se connaissait depuis toujours, celui-là avait la tête de choucroute méchée. « Sûrement pas bien loin, c’est sûre ! » Un léger rire sortit de la bouche d’Alek « Ouh ça clash ! » Avait alors rajouté le quatrième qui n’avait encore pas parlé. « Jouez ! » S’énerva le professeur. En quelques minutes l’équipe menait déjà de dix points, sans s’être concerté avant, à la fin du match, l’écart s’était réduit, mais le résultat était le même, les cinq adolescents venait de gagner contre une soit disant équipe de championnat, sous le regard médusé du prof de sport et des autres élèves. Le cours terminé, et les douche prise, Alek sortit dans les derniers, devant le gymnase, le typé, le bouclé, choucroute méchée et le grand guignol qui rigolait tout le temps l’interpelèrent. Le guignol commença « Bien jouer ! On va boire un verre, tu te joins à nous ?! » Le portable du norvégien sonna, un boulot l’attendait « Une autre fois, je dois y aller la ! » […] Alek n’avait pas reparlé à ses camarades depuis la dernière fois à la sortie du gymnase. Il s’apprêtait à allumer un joint dans le repère de Paco lorsqu’il reçut un message, il se résigna à attendre. Marchandise en poche, il se rendit au lieu de rendez-vous, en s’approchant il reconnut deux des quatre acolytes de son cours de sport, le guignol et le typé. « Bah tiens, si on pensait que c’était toi on t’aurait directement demandé au lycée. » annonça le typé. Un rictus s’afficha sur le visage du blond « Tu as ce qu’on a demandé ?! » s’enquit le deuxième « Impatient ?! Tu crois que je me déplace les mains vide, je n’ai pas que ça à faire ! » Les deux jeunes se regardèrent interdit « Je plaisante, tu as le paiement ?! » Oui Alek à un humour particulier. Vérifiant les horizons ils firent l’échange du sachet contre l’argent. Alek vérifia la somme, acquiesça et partit. « Mec, attend ! » Alek se retourna vers celui qui venait de lui parler, le typé. « On fait une soirée ce soir, tu viens ?! » Soirée pour Alek égale fille, alcool et drogues, il sourit « En tant que fournisseur ou invité ?! » « Les deux ! Au fait, moi c’est Emrys ! » Le norvégien acquiesça attendant que le deuxième se présente « Maël ! » « Enchanter, Alek ! »

CHAPITRE NEUF : ON EST JEUNES ON BOIT ET ON SE BAT JUSTE PARCE QU’ON EST CON. « Vas-y déconne pas ! » Raphaël ou peut-être Baptiste tenais au-dessus de l’évier un de ses sachets. D’habitude il pouvait les reconnaître mais ce matin, c’était un peu compliqué. « Mec arrête de te défoncé sérieux, sa t’apporte quoi ?! » la voix de choucroute méchée alias Timothy retenti à l’entrée de la salle de bain, Alek était avachi comme une loque en boxer contre les toilettes « Sa m’apporte quoi ?! Mon salaire ! » Répondit-il énervé. Certes se défoncé ne lui apportais pas son salaire en lui-même, mais il y contribuait. « Mec, ça te pourri la vie ! » Alek avait repris des forces et s’était relevé. Il attrapa le sachet des mains d’un des jumeaux, qui se trouvait être Raphaël, logique, c'était son colocataire. « Vous me les brisez les gars, occupez-vous des deux autres zombies qui pionce dans le salon ! » Il avait crié cette phrase si forte que sa tête résonnait. « Putain moins fort les gars ! » La voix de Maël arrivait du salon. « Ta gueule Maël j’ai l’impression d’avoir un éléphant assit sur ma tête ! » Même avec la gueule de bois, Emrys faisait de l’humour. Alek laissa ses amis dans le salon pour se rendre dans sa chambre à l’étage de son loft, il fit un bon en arrière en découvrant la blonde et la brune nue dans son lit. Il siffla un coup, s’éclatant la boite crânienne par la même occasion et réveillant les deux jeunes filles : « Ludder ! J’aimerais dormir, tirez-vous de chez moi ! » A ses mots, les deux jeunes filles sortirent en s’habillant passant devant les quatre garçons resté au salon. Une nouvelle fois, Alek, Maël et Emrys s’était mis la tête à l’envers, et une nouvelle fois, Raphaël, Baptiste et Timothy les avaient engueulés. Mais leur leçons de morales ni faisaient rien ! Alek ne changerais pas, il aimait le train de vie qu’il menait, même si il avait l’impression d’entrainer avec lui deux de ses amis, et même si il avait l’impression de gâcher son avenir universitaire. […] C’était un vendredi soir, cela faisait un peu plus d’un an que les cinq adolescents se connaissaient. Ils avaient décidé d’allé faire la fête, pas très rare, vu qu’ils sortaient quasiment tous les week-ends ensemble… Comme à chaque fois avant de partir, Emrys, Maël et Alek se mirent dans l’ambiance avec une des nouveautés d’Alek, les jumeaux et Timothy, eux, se mirent dans l’ambiance avec un verre d’alcool, puis ils se dirigèrent vars le pub de la ville. Arrivés sur place, ils s’installèrent à une table et commandèrent à boire… « Eh ! Baptiste c’est Justine là-bas ! » Déclarait alors Thim pendant qu’Emrys servait les verres. « C’est ta copine ? » Demandait Alek en regardant en direction de la jeune fille. « Y’as de la marchandise se soir ! » Alek rigola à la phrase de son ami, pendant que Thim et Baptiste le fusillait du regard. « Apparemment c’est chasse garder mec ! » Ajouta Alek en riant toujours. […] La soirée commençais à battre son plein, l’alcool commençait ses effets. Pendant que les trois drogués faisaient des plans pour savoir qui coucherais avec qui, Thim s’arrêta de rire en entendant la voix d’une jeune fille qui criait. Raphaël et Baptiste avait eu la même réaction et la triplette s’arrêta aussi, cherchant à savoir ce qu’il se passait. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, Thim et les jumeaux partirent en direction des cris, suivit de près par les trois autres. Au fond du club se trouvait cinq molosses et la frêle Justine que Timy avait montrée en début de soirée. Timothy commençais à s’énerver, quant à Alek, plus tôt lorsqu’il l’avait regardé il n’avait pas pu s’empêcher de voir sa jeune sœur Maja, et imaginer sa sœur dans une tel situation le mis dans une colère noir, il s’avança vers les gars et commença à taper dans le tas, pendant que Thim récupérais Justine lui demandant de partir. Alek a toujours prôner la non-violence, mais quand il s’énerve et décide de frapper, la personne en face doit avoir une bonne couverture maladie. Il fut vite rejoint par le reste des garçons. Les explications terminées, les cinq garçons retournèrent à leurs occupations comme si rien ne s’était passé, sous le regard des autres clients de la ville. Thim Raphaël et Baptiste étaient allés rejoindre Justine, les trois autres se tenaient derrière comme des gardes du corps, si jamais les autres en demandaient plus. La blondinette sous le choc était resté muette jusqu'à présent « M… merci ! » Bégaya-elle après quelques minutes.

CHAPITRE DIX : SES VRAIS AMIS ON LES COMPTE SUR LES DOIGTS D’UNE MAIN. Après avoir couché avec inconnue, Alek parti sans faire de bruit. Il voulait rentrer chez lui, et dormir dans son propre lit, avant il ramenait ses conquêtes sans mal dans son loft, mais depuis qu’il vivait en colocation avec Maël, Emrys, Raphaël et Timothy, il évitait de leur infliger ça. Lorsqu’il arriva chez lui, la maison était sens dessus dessous. En même temps, faire une colocation avec cinq mecs, qu’elle idée ?! Il soupira avant de se rendre dans sa chambre. Croisant au passage une fille sortant de la chambre de Maël. Emrys qui sortait au même moment de sa chambre eu la même réaction que le norvégien. « Tu rentres tôt ! » lui fis remarquer le garçon aux yeux vert. « Les mecs vous êtes là ?! » C’était la voix de Maël qui émanait de sa chambre, les deux jeunes arrivèrent alors dans la chambre de leur ami, sautant sur le lit. En criant. Ne chercher pas à comprendre leur réaction, ils agissent bizarrement. Deux minutes à peine plus tard, alors que les trois amis se racontaient leurs ébats de la veille, deux têtes firent leur entrée dans la chambre « Même pas vous nous attendez pour comparer vos exploits ! » Les rires reprirent alors qu’Alek décoiffa le bouclé « Mais si, c’est pour ça qu’on n’était pas discret ! » « On est jamais discret ! » Les rires doublèrent. Ses cinq là s’entendaient comme les cinq doigts de la main et sans voir le temps passé ils entendirent la porte d’entrée claquer. Raphaël se leva et courra presque, sous les rires de ses amis « Vous croyez qu’il va lui parler un jour ?! » Tous dirent d’une même voix un « non » La personne qui était entrée, c’était Justine et Baptiste par la même occasion. Les garçons s’était donc rendu dans le salon pour l’accueillir « Comment vous pouvez vivre dans un tel bordel les gars ?! » « Bah on est des mecs justement ! » « On attendait que tu vienne faire le ménage en fait ! » « Crèves ! » Tous explosèrent de rire, alors qu’Alek pris sa meilleure amie dans ses bras avant de la porter sur son épaule « C’est ce qu’on va voir ! » A nouveau, des rires de la part du reste de la bande « Vas-y doucement mec ! » C’était la voix de Baptiste qui résonnaient « T’inquiète pas ! » Lança le norvégien avant de sauter habillé dans la piscine qui se trouvait dans leur jardin… The Story Continues…

☆ **DATE D’ARRIVÉE** : 17/10/2013

étale toi, c'est comme le chocolat, plus y'en a mieux c'est "- Je t'aime, voilà c'est dit ! - Pas moi, voilà c'est répondu" ▬ aleksander 1754780055

bienvenue petit chat i love you

☆ **DATE D’ARRIVÉE** : 20/09/2013

la bande est au complet
bienvenue parmis nous et bon courage pour ta fiche

☆ **DATE D’ARRIVÉE** : 24/09/2013

Aleksander Jakobsen a écrit:: Ma copine voulait que je change, j'ai changé de meuf.

bienvenuuuuuuuue

☆ **DATE D’ARRIVÉE** : 24/09/2013

Jean GreyJoy a écrit:

Aleksander Jakobsen a écrit:: Ma copine voulait que je change, j'ai changé de meuf.

bienvenuuuuuuuue

"- Je t'aime, voilà c'est dit ! - Pas moi, voilà c'est répondu" ▬ aleksander 1992405834

bienvenuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuue

☆ **DATE D’ARRIVÉE** : 27/10/2013

MOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON BB sex2

☆ **DATE D’ARRIVÉE** : 19/10/2013

Robb Mainfield a écrit:

Jean GreyJoy a écrit:

Aleksander Jakobsen a écrit:: Ma copine voulait que je change, j'ai changé de meuf.

bienvenuuuuuuuue

bienvenue ici mon petit !

☆ **DATE D’ARRIVÉE** : 27/10/2013

Merci everybody (la flemme de faire un merci individuel)
MON BBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBB "- Je t'aime, voilà c'est dit ! - Pas moi, voilà c'est répondu" ▬ aleksander 165060977

"- Je t'aime, voilà c'est dit ! - Pas moi, voilà c'est répondu" ▬ aleksander 165060977

☆ **DATE D’ARRIVÉE** : 24/09/2013

bienvenue ici, si tu as des questions, on est là I love you

☆ **DATE D’ARRIVÉE** : 27/10/2013

SALUT BABE. ON FAIT DES BB ?

☆ **DATE D’ARRIVÉE** : 27/10/2013

Merci Jed :)
Quand tu veux babe, j't'attend bed

☆ **DATE D’ARRIVÉE** : 27/10/2013

hey, salut baby "- Je t'aime, voilà c'est dit ! - Pas moi, voilà c'est répondu" ▬ aleksander 2640265990

"- Je t'aime, voilà c'est dit ! - Pas moi, voilà c'est répondu" ▬ aleksander 3021706744

"- Je t'aime, voilà c'est dit ! - Pas moi, voilà c'est répondu" ▬ aleksander 2590845377

☆ **DATE D’ARRIVÉE** : 27/10/2013

Hey toi

Invité

bienvenue à seattle !

~ installe toi confortablement.

☆ ☆ ☆ ☆ ☆

encore une fois bienvenue à seattle, j'espère que tu t'amuseras parmi nous.

☆ ☆ ☆ ☆ ☆

et voila, ça y est, ta fiche est au top, tu vas pouvoir poser tes valises à seattle et ça c'est cool. déjà, tu feras bien d'aller vérifier dans le bottin que ta tête est bien là, une erreur ça peut arriver, donc autant être sur. après, tu peux aller jeter un coup d'oeil aux annexes, si c'est pas déjà fait, ça peut toujours servir.
et puis après tout ça, les choses sérieuses commencent ! histoire d'avoir plein de potes pour faire des grosses soirées et compagnie, vas donc te faire une fiche de liens. après, on va te demander d'aller recenser ton métier ainsi que ton logement, pour qu'on puisse tous s'y retrouver. ah et puis si t'aimes la technologie, je te conseille d'aller acheter un téléphone, pour que tes amis puisse te joindre n'importe quand, tu vois. enfin après tout ça, je pense que tu seras crevé, alors vas donc faire un tour dans le flood et les jeux, ça va te détendre et tu pourrais parler avec les autres membres. n'hésite pas à faire un tour sur la cb aussi, y'a une trop bonne ambiance.
et puis aussi, profite de ton arrivée pour aller poster dans les deux topics communs, t'as le choix y'a un festival et une monstrueuse soirée d'halloween.

voila voila, je t'ai dit tout ce que tu devais savoir. si t'es perdu, si t'as besoin de quoi que ce soit, n'hésite pas à joindre une des administratrices, on est là pour toi
marie, romane, kelly et camille. on t'aime

» # aleksander jakobsen

"- Je t'aime, voilà c'est dit ! - Pas moi, voilà c'est répondu" ▬ aleksander

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