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 (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça !

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AuteurMessage
Emrys Swatherston

Emrys Swatherston

DATE D’ARRIVÉE : 27/10/2013
MESSAGES : 171
AVATAR : louis tomlinson, the hottest one.
CRÉDITS : jacage.
PSEUDO : anaëlle.

~ SEATTLE NEWS.
DISPONIBILITÉS : (0/3) libre.
DOMICILE : sous les ponts comme le clochard que je suis.
RELATIONS :

(emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! Empty
MessageSujet: (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça !   (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! EmptyDim 27 Oct - 16:52


emrys la fabulance swatherston
la vie est belle quand on a quatre ans et demi dans sa tête
(c) crédit ~ tumblr.com
☆ ☆ ☆ ☆ ☆

prénom nom ~ emrys joshua swatherston. âge ~ vingt ans et toutes mes dents resplendissantes de blancheur grâce au pouvoir de colgate et du fil dentaire. date et lieu de naissance ~ 25|07|1993 à londres. origines/nationalité ~ anglaises. sexualité ~ hétéro jusqu'à maintenant. statut civique ~ célibataire, encore heureux, béni sois-je. statut familial ~ fils unique (+) je ne parle plus à mon père et ma mère est décédée. métier/études ~ études de théâtre. caractère ~ joueur, chiant, désordonné, franc, impulsif, spontané, drôle, bruyant, sarcastique, insolent, intrépide. groupe ~ réponse ici.

☆ questions have been asked.
depuis quand es-tu à seattle et que penses-tu de cette ville ~ je suis ici depuis le collège. je n'adore pas cette ville mais ne la déteste pas non plus. à vrai dire, je trouve ça toujours mieux que d'être à londres avec mon père. est-ce que tu comptes rester toute ta vie à seattle, pourquoi ~ pourquoi pas. ce qui me retient ici, ce sont mes amis. je n'ai aucune raison de partir là où ils ne sont pas (surtout maël mon amour keur sur twa bb jtm kiss kiss love) quel est ton endroit préféré à seattle ? ~ mon lit, ça compte ? qu'as-tu vécu de plus fou dans cette ville ? ~ avec moi, la question serait plutôt "qu'est-ce que tu n'as pas vécu de fou ?" haha.

je fouilles souvent dans les affaires de mes colocs ☆ je tapisse le loft de mes caleçons, c'est swaggy ☆ je bouffe tout ce qui me tombe sous la main, et c'est sûrement pour ça que je me mordille souvent la lèvre, et les bouchons de stylo aussi ☆ j'ai quatre ans et demi dans ma tête ☆ quand je suis réveillé tôt, je vais regardé les dessins-animés ☆ je dessine sur les semelles de mes chaussures ☆ je ne dis jamais à quelqu'un que je l'aime même si je l'aime (sauf maël bc c'est ma femme) ☆ je passe mon temps à faire chier les gens mais bon, il paraît que c'est de l'amour ☆ je suis un grand comédien, tout est toujours tragiquement théâtrale avec moi, j'en fais toujours des caisses ☆ je bouffe comme 76528398489 mais je prends pas un gramme (ça vous énerve, heiiiin ?) ☆ un jour j'ai échangé ma ps3 contre un sandwich nutella/beurre de cacahuète ☆ je suis parfait.


☆ we all got stories to tell.


► chapter one,
J’étais haut comme trois crêpes à genoux mais cela ne m’empêchait pas d’avoir mes petites exigences. Je devais absolument arriver en avance à l’école pour être le premier. J’avais même menacé mes parents de garder le même slip pendant un an s’ils n’acceptaient pas de m’emmener si tôt. Même que je m’en fichais que ça pue. Ils s’étaient moqués de moi mais peu m'importait. Ils avaient quand même fini par céder, histoire que je ne sois pas vexé pour mon premier jour de classe. J’avais donc fini par arriver une bonne demi-heure avant tout le monde, mais le portail de la cour était déjà ouvert. Je n’avais pas perdu de temps pour sauter de la voiture mais une voix m’interrompit dans ma lancée. Attends-moi mon lapin ! Je détestait qu’elle m’appelle comme ça. Si elle continuait comme ça, j’allais bientôt avoir des grandes oreilles qui allaient me pousser sur la tête. J’aimais même pas les carottes en plus, elle disait vraiment n’importe quoi cette maman. J’attendis donc qu’elle me rejoigne, mais lorsqu’elle me tendit la main, je le regardai bêtement. Mais maman, tu vois bien que j’ai les mains prises ! Le regard interrogateur de ma mère me poussa à poursuivre mes explications. Ben ça, c’est mon cartable, commençai-je en tendant ma main droite. Et ça, c’est mon sac à dos magique. Ce sac, il était à moi, rien qu’à moi. Où que j’aille, je l’emmenais avec moi. Et qu’est-ce que tu caches dans ce sac à dos magique ? Je soupirai. Qu’elle était curieuse. J’affichai une petite moue hésitante avant de lui répondre. Des trucs, lâchai-je simplement. Tu parles d’une explication. Oui mais elle n’avait pas besoin d’en savoir plus. J’avais le droit d’avoir mon petit jardin secret. Mais de toute façon, t’es une maman toi, tu peux pas comprendre. A peine eus-je achevé ma phrase que je plaquai un gros bisou sur la joue de ma mère et courus vers la cour de récréation, souriant de toutes mes dents. […] Dans la cour, il n’y avait personne si ce n’est deux femmes qui étaient probablement des maîtresses de l’école. Elles s’empressèrent d’ailleurs de m’accueillir avec un grand sourire. Pff, j’suis pas un p’tit garçon facile moi. Je détournai donc simplement le regard, pensant qu’elles allaient devoir redoubler d’efforts si elles comptaient me séduire un jour. Après avoir fait le tour de la cour, je trouvais un petit coin où je m’installai. Il y avait bien des bancs mais c’était bien trop commun pour moi. Je préférais m’assoir par terre. Sans que mon éternel sourire ne se détache de mes lèvres, je farfouinai dans mon sac –où je trouvais des cailloux, des crayons, des morceaux de pain, un slip et tout un tas de trésors– jusqu’à trouver l’objet de ma convoitise : ma petite boîte de vache qui rit. Mes parents m’avaient demandé d’être sage au moins pour aujourd’hui mais bon, il n’y avait rien de mal à faire du trafic de fromage. Enfin, j’aurais pu appeler ça comme ça si au moins mes futurs camarades avaient daigné venir m’en acheter. Mais ce ne fut pas le cas. Je voyais différentes petites têtes passer devant moi mais personne ne s’intéressait à moi. Finalement, afin de faire passer le temps, j’avais mangé une vache qui rit, puis deux… puis cinq. C’est que c’était bien bon ces conneries-là. J’étais en train de déguster mon sixième fromage lorsqu’une petite voix m’interpela. J’en veux. Bah, d’où il sortait celui-là ? Je ne l’avais même pas vu arriver. Maman m’a dit qu’on devait demander gentiment alors tu dis titeplé. Puis c’est pour mon trafic. Je n’allais quand même pas offrir mes vache qui rit comme ça, surtout pas à ce garçon avec sa coupe au bol. Ce n’était pas avec son petit regard de biche qu’il allait m’attendrir. En plus, il ne semblait même pas savoir ce que c’était qu’un trafic. Moi j’étais un dur, un vrai. Un dealer de vache qui rit comme moi n’avait rien à faire avec lui. Pourtant, je pris quand même le temps de lui expliquer en quoi consistait mon travail. J’échange, répondis-je entre deux bouchées de fromage. Je ne le quittai pas des yeux. Le regard rivé sur ma marchandise, on aurait dit qu’il complotait quelque chose. Et en effet, d’un geste vif, le garçon tenta de me piquer une vache qui rit. Psssht, espèce de voleur ! Je veux bien que tu la garde que si tu m’échange des poggs ou alors des cartes Pokémon, lâchai-je en criant. T’es pas drôle quand même. Pff, t’me connais même pas. Moi je rigole bien. J’adorais m’amuser alors je n’aimais pas quand on me disait que je n’étais pas drôle. Une mine boudeuse, je regardai le petit garçon s’assoir par terre à côté de moi. Je m’appelle Maël, ça vaut une vache qui rit non ? Non, je dis souvent que je m’appelle Emrys et on me donne pas de fromage. Après avoir lâché un soupir, je vis le dit Maël lever la main en l’air et je le regardais faire, intrigué. Ben on s’en fiche, on a qu’à être des copains quand même. Les mains encore pleines de fromage, je regardai furtivement à droite puis à gauche afin de trouver quelque chose où je puisse m’essuyer. Oh et puis zut. Je passai mes deux mains dans mes cheveux puis me léchai les doigts pour enlever ce qu’il restait. Puis, je tapai dans la main du petit garçon qui était toujours tendue vers moi. D’accord. Le dernier arrivé au toboggan est un gros bébé ! m’exclamai-je en courant vers les jeux sans même prendre la peine de ramasser mes affaires. Sans perdre de temps, Maël courut après moi, bien décidé à ne pas perdre la course.

Ce soir, comme tous les soirs, après le goûter, j’allais m’asseoir sur le petit muret qui séparait nos deux maisons à Maël et à moi. Je réfléchissais à ce que nous pourrions bien faire aujourd’hui, mais je ne me faisais pas de souci. Lorsque nous étions tous les deux, nous débordions toujours d’idées qui se concluaient d’ailleurs par une catastrophe la plupart du temps. Mon père m’avait averti plus d’une fois qu’il risquait de sévir si je persistais à être si turbulent. Mes ses menaces tombaient dans l’oreille d’un sourd, et ce, à chaque fois. Le bruit des pas de Maël dans l’herbe me sortirent de mes pensées. Un ballon à la main, le petit garçon courra vers moi et je fis de même après avoir sauté par-dessus le muret qui nous séparait. Pendant quelques minutes, nous nous faisions quelques passes en nous racontant chacun un peu de notre vie afin de faire passer le temps. Je lui racontais comment j’avais renversé mon verre de lait en voulant tremper mon choco BN dedans, et lui m’expliquait de quelle manière il avait troué une énième paire de chaussettes aujourd’hui en voulant tester la force de son gros orteil. J’aimais bien aller à l’école pour faire le pitre avec lui et faire tourner notre maîtresse en bourrique. Mais ce que je préférais, c’était lorsqu’on était rien que nous deux, comme ça. Nous étions comme les deux doigts de la main. Combien de fois avais-je pu jouer au gamin capricieux pour pouvoir rester dehors ne serait-ce que cinq minutes de plus ? Je ne les comptais plus. Bref. Perdu dans mes pensées, je frappai un peu trop fort dans le ballon qui atterrit dans un buisson tout au fond du jardin. Dans notre course du « qui arrivera le premier ? », je trébuchai deux ou trois fois sur mes lacets, parce que ce genre de conneries, c’était toujours pour moi. Mais l’essentiel était que nous étions tous deux arrivés au buisson. Alors que j’observai Maël les fesses en l’air en train de farfouiller dans ce même buisson à la recherche de notre ballon, je sortis un briquet de mon sac à dos magique où je fourrais tout ce que je trouvais. T’as vu ce que j’ai trouvé dans la poche du manteau de mon père ? Le petit garçon sorti la tête des feuilles, les mains pleines de terre mais le ballon bien en mains. Eh ! On a qu’à essayer de faire crâmer les fourmis, tu sais, un peu comme des indiens ! Ce jour-là, j’avais trouvé l’idée de Maël tellement bonne. Et c’est ainsi que nous avions mis le feu au buisson dans le jardin de mon copain. Nos parents n’avaient pas manqué de nous foutre une dérouillée après ça, et pour la première fois de ma vie, je n’avais pas fait le malin. J’avais été puni et je n’avais plus eu le droit de voir Maël en dehors de l’école pendant une semaine. La pire semaine de ma vie.

Lequel de vous a fait ça ? Une nouvelle fois, mon regard passa par-dessus l’épaule de la maîtresse pour regarder l’état du mur de l’école qui avait subi nos foudres artistiques. Enfin, il nous avait suffi de quelques mains trempées dans un pot de peinture et le tour avait été joué. Le pire, c’est que je ne me sentais même pas coupable. Je trouvais même ça plutôt joli. Enfin, à croire qu’en grandissant on perd son sens de l’humour. Moi, je m’étais promis de ne jamais devenir comme ça. Même à trente, quarante, cinquante ans, je rigolerais toujours autant, j’en avais décidé ainsi. Je fis pivoter ma tête à droite, puis à gauche afin d’observer la réaction de mes deux acolytes. Timothy avait le pot de peinture dans la main –ou plutôt dans les deux vu que le pot était presque aussi grand que lui– et Maël, lui, il avait enlevé son pantalon –mais ça en fait, je ne savais pas trop pourquoi, mais ça n’avait sans doute rien à voir avec notre problème actuel alors après tout, il faisait bien ce qu’il voulait. Ben… je crois bien que c’est Marc madame, dénonçai-je au hasard en désignant de la tête le petit mec boutonneux à lunettes qui passait juste à côté de nous. La maitresse sembla me dévisager comme si je racontais n’importe quoi. Curieux, je baissai donc le visage afin de voir si quelque chose clochait chez moi. Bof. A part mes vêtements et mes mains qui étaient recouverts de peinture, je ne voyais pas trop ce qui pouvait bien l’intriguer à ce point. Ou peut-être était-ce le trou que j’avais sur ma manche. Ce matin, j’avais voulu découper une image dans un livre mais j’avais ciselé mon pull avec. Ça m’arrivait souvent ce genre de choses alors j’imaginais qu’elle ne m’en tiendrait pas rigueur. Inutile d’accuser votre petit camarade, je sais que c’est vous, répliqua notre maitresse après avoir lâché un énième soupir de désespoir. Pas franchement convaincu, j’haussai simplement les épaules en faisant la moue. Je pouvais voir qu’elle attendait toujours que l’on se dénonce mais aucun de nous n’était décidé à le faire. Si vous voulez, on fait comme si de rien n’était, proposa alors Timothy en lui adressant un sourire angélique de façon à mieux faire passer la pilule. Et on peut s’en aller si tu veux madame, ajouta Maël avec ses grands yeux de merlan frit. Ça ira pour cette fois mais je vais devoir en parler à vos parents. Ce genre de bêtises vous arrive beaucoup trop fréquemment et… Merci madame ! criai-je au loin alors que nous étions déjà tous les trois en train de courir hors de l’école dans un seul et même éclat de rire.


► chapter two,
Mon père et moi revenions tout juste du cimetière. J’avais encore les yeux bouffis par les larmes, et j’étais resté silencieux jusqu’à ce que l’heure du dîner soit arrivée. Alors que l’attention de mon père était encore et toujours portée sur son assiette, je me contentai de ne pas broncher et de faire de même. Mais au fond, je détestais cela. Je détestais l’atmosphère qui pesait présentement à la maison. C’était lourd, pesant, et je préférais de loin passer rapidement à autre chose afin de dissimuler ma peine au maximum car cette ambiance m’était tout bonnement insupportable, et je me refusais à terminer mon dîner ainsi. N’écoutant que mon immaturité, je brisai le silence à ma manière. COUSCOUS ! hurlai-je alors que j’avais encore de la semoule dans la bouche. Recouvert de grains, mon père se leva subitement de sa chaise, de la fureur dans les yeux et les joues couleur pivoine. Emrys ! Tu vois pas que c’est pas le moment ! J’avais maintes et maintes fois entendu mon père se fâcher, surtout avec les innombrables bêtises que je faisais, mais jamais avec tant de colère dans la voix. Je ne répondis rien, espérant que l’ambiance s’apaise. Il avait les yeux rivés sur moi, et moi, je jouais nerveusement avec ma fourchette, n’osant plus relever le regard. Je devais avouer que je me sentais idiot à ce moment précis. Pourtant, je ne comprenais pas pourquoi il s’était emporté de cette manière. Ben quoi ? Tu es triste maintenant, toi ? Pourtant, c’est de ta faute si maman est morte. Je n’avais pas pesé mes mots c’est vrai, au même titre que je n’avais pas vraiment réfléchi à mes paroles. Ce devait être blessant, j’en étais conscient, mais c’était ce que j’avais toujours ressenti au fond. C’est quand elle a appris que tu la trompais qu’elle a quitté la maison en colère et qu’on l’a jamais revue. C’est pas un peu trop tard pour avoir des remords ? lui demandai-je alors rhétoriquement. Stoïque, mon père ne répondit rien dans l’immédiat, mais je voyais bien à l’expression qu’il arborait qu’il bouillonnait à l’intérieur. C’était légitime après ce que je venais de lui balancer mais je m’en fichais pas mal. J’avais besoin de me libérer l’esprit en lui avouant ce que je pensais. De toute façon, ma relation avec mon père n’avait jamais été bonne, je n’avais aucune raison d’avoir peur qu’elle se détériore à ce stade. La dernière image que j’avais de ma mère, c’était une femme furieuse et blessée, et je lui en voulais pour ça. Je me souviendrais probablement de cette journée toute ma vie. J’avais entendu des cris dans le salon, alors j’étais descendu discrètement et m’étais assis dans les escaliers pour suivre leur échange qui m’avait paru trop vif pour être de bon augure, d’ailleurs. Je ne m’étais pas trompé. Entre deux crises de larmes, j’entendais ma mère demander à mon géniteur comment il avait pu lui faire ça. De ce que j’avais compris, elle venait de découvrir qu’il avait une liaison avec une autre femme. Et ensuite, elle avait simplement préféré fuir, prétextant qu’elle avait besoin de prendre l’air. Qui n’en aurait pas fait autant ? La voix grinçante de mon père me fit sortir de ce douloureux souvenir. Monte dans ta chambre tout de suite, Emrys. Je ne m’étais pas fait prier pour m’exécuter. Je te déteste ! criai-je du haut des escalier avant de claquer la porte de ma chambre. Je n’étais qu’un petit garçon à l’époque où ma mère avait perdu la vie, mais j’étais loin d’être stupide. Si je maudissais ce jour, je maudissais encore plus mon père d’avoir fait subir ça à la femme merveilleuse qu’était ma mère.

Emrys ? Qu’est-ce que tu fais ? Valise en main, je descendais les escaliers. Bah tu vois, j’me casse, lâchai le plus naturellement du monde en poursuivant mon chemin dans le salon. Il y a quelques temps, j’avais appris que Maël quittait Londres pour aller s’installer à Seattle, ce même village qu’avait rejoint Timothy lorsqu’il était parti. En toute innocente, mon meilleur ami m’avait glissé que je pouvais venir aussi, et cette proposition n’était pas tombé dans les oreilles d’un sourd. Je ne supportais plus de vivre avec mon mère, sûrement tout autant qu’il n’en pouvait plus de me supporter. Il fallait dire que je faisais tout et n’importe quoi pour le pousser à bout alors c’était légitime. Pour autant, même si cela avait le don de m’amuser, j’en avais désormais plus qu’assez. Dans ma tête, tout était clair : si Maël se barre, je me barre aussi. C’était aussi simple que ça. Tu comptes aller où comme ça, hein ? Sans même prêter attention à la question de mon père, je me dirigeai vers la porte de la maison. Cela pouvait sembler complètement stupide et irréfléchi, mais pourtant, j’étais bien décidé à ne plus remettre les pieds ici, une fois le pas de la porte passé. Emrys, réponds-moi quand j’te parle ! Agacé, je laissai ma valise tomber lourdement au sol et me retournai vers mon interlocuteur qui me lançai un regard furieux à l’autre bout de la pièce. Maman n’est plus là et Maël se tire d’ici. La conclusion est simple, non ? Y’a plus rien qui me retient ici. Mon père souriait bêtement. Probablement qu’il se moquait de ma décision et qu’il me prenait pour un irresponsable, comme il avait toujours eu l’habitude de le faire. C’est bien beau tout ça, mais tu comptes faire quoi ? Tu n’as même pas d’argent pour vivre tout seul. C’est vrai que partir ainsi, c’était un peu comme partir à l’aventure. Je n’avais rien. Dans ma valise, j’avais pris le strict minimum, mais sans plan ni argent, je n’allais sûrement pas aller bien loin. Toutefois, il y avait bien une chose que j’avais pris soin de faire avant de partir, c’était de me débrouiller pour obtenir et remplir adéquatement les dossiers qui me permettraient d’intégrer le collège de Seattle moi aussi. Ton petit manège ne va pas durer longtemps, crois-moi ! Reprenant ma valise en main, je me contentai d’émettre un rire hypocrite suite à la remarque de mon père, puis, sans même me retourner vers ce dernier, je quittai la maison pour ne jamais y revenir.


► chapter three,
Mec, tu fais quoi après les cours ? Je restai silencieux quelques secondes le temps de placer mon filtre et de rouler ma cigarette. Il était 16h55. Dans cinq minutes nous pourrions enfin nous barrer de là. J’avais toujours pris cette habitude de préparer mes clopes avant de sortir, je m’en fichais pas mal qu’on soit en classe ou non. Laisse tomber, j’ai un rencart, répondis-je enfin. Je savais que Maël allait me demander avec qui alors j’anticipai en lui répondant aussitôt. Avec Faith. Cette fille était dans notre classe depuis le début du collège, et je devais avouer que je l’appréciais beaucoup. Elle était belle, gentille mais un peu rebelle parfois. Je n’étais d’ailleurs pas le seul à avoir des vues sur la jeune fille, mais ce soir, c’était avec moi qu’elle sortait. Putain le veinard, elle est vraiment trop bonne. Je me retournai légèrement pour faire face à mon camarade qui ne s’était pas gêné pour prendre part à la conversation. De quoi tu parles, toi ? Elle est pas “bonne”, m’exclamai-je presque. L’entendre parler ainsi de Faith me faisait sortir de mes gonds plus que je ne l’aurais pensé. Je n’étais pas vraiment ce genre de garçon à vrai dire. Aussi, ma réaction ne manqua pas d’étonner Maël. Me dis pas que t’es amoureux ?! Comment pouvait-il encore me poser cette question ? Je lui avais tellement parlé de cette fille, mais le jeune homme semblait revenir de loin. Bref. Peu m’importait. Je ne répondis pas, léchant ma feuille à rouler puis tassant ma clope. Putain si, t’es amoureux quoi ! Mais nan, j’suis pas amoureux, lâchai-je agacé. Bon ok, je l’étais peut-être un peu mais ce n’était pas “cool” d’être un mec amoureux. J’avais toujours eu une réputation très loin de tout ça, alors il était hors de question pour moi d’avouer un truc pareil. Nan, ça c’est le genre de fille que tu baises et qu’tu jètes après. Le bonheur. Ok, alors en plus d’être gros, moche et boutonneux, mon camarade de derrière était complètement con. La cigarette coincée entre mes lèvres, je me levai de ma chaise et fourrai mes affaires de cours dans mon sac. Pris dans mes pensées, je n’écoutais pas ce que le professeur pouvait bien me dire, mais je compris tout de même qu’il me demandait ce que j’étais en train de faire, en profitant pour m’ordonner de jeter ma clope à la poubelle. Bah v’voyez, j’range mes affaires. Une fois mon sac rempli, je ne perdis pas une seconde pour me retourner et le balancer violemment dans la gueule du gros lard qui se trouvait derrière moi. Je pouvais voir tous les regards se poser sur moi. Tandis qu’il accourait vers le jeune homme, le professeur voulu me sommer de me rassoir puisque « ce n’est pas encore l’heure », mais la sonnerie retentit, contredisant ainsi ses propos. Je me contentai donc d’arborer un sourire satisfait. Tu m’as pété le nez mec ! s’exclama mon camarade qui avait effectivement le nez en sang. Qu’est-ce qu’il dit Voldemort ? riai-je avant de le laisser en plan et de quitter la pièce au plus vite en compagnie de Maël qui riait encore de l’état de l’autre abruti. […] A peine avions-nous mis les pieds à l’extérieur de la classe que je vis Faith se diriger vers moi. Alors, tu es toujours d’accord pour venir boire un verre ? Je restai planté comme un imbécile pendant de longues secondes, ne sachant comment agir. Elle était mignonne avec son petit sourire en coin et ses petites mèches de cheveux qui lui tombaient devant les yeux. Mais je sentais le regard de Maël posé sur moi et me remémorai notre pseudo-discussion en cours. Je n’avais vraiment pas envie de passer pour le gars amoureux. D’ailleurs, je n’étais pas amoureux. Pas du tout. Il fallait que je m’en persuade de toute façon. Je pris quelques secondes pour la toiser du regard d’une manière assez irrespectueuse, je devais l’avouer. Hm, écoute Beth… Faith, me coupa-t-elle. Son prénom, je le connaissais par coeur. J’en avais simplement fait exprès, exprès de l'avoir complètement oublié. Et bah tu vois… c’est exactement là où je voulais en venir. Sans même lui adresser un autre regard, je tournai les talons tandis que Maël m’emboitait le pas. […] Heartbreak. […] J’avais regretté mon attitude de longues semaines durant, mais tout passe avec le temps, c’est bien ce qu’on dit. J’avais beau avoir pensé le contraire, je m’étais rapidement rendu compte que ce n’était que trop vrai. Et en plus de ça, il m’avait suffi d’une fois. Une seule putain de fois pour prendre l’habitude : A agir comme un connard, on devient vraiment un connard.

Lizzie Hamilton ? Je regardai mon meilleur ami, impressionné. Attends mec, tu t’es tapé Lizzie Hamilton ? Maël me lança un sourire satisfait qui semblait en dire long sur la vraisemblance de ses propos. La seule et l’unique, me confirma-t-il. Il n’était pas peu fier, et franchement, c’était légitime. Cette Lizzie, c’était LA bimbo du collège. C’était une fille facile, mais pour autant, il fallait le mériter pour l’avoir sous les draps. J’y crois pas putain… t’as du bien en profiter, lâchai-je avant de rire bêtement. D’un air fier, le brun ténébreux qui me servait de meilleur ami acquiesça. Je marquai une pause le temps de sortir mon briquet, d’allumer ma cigarette et de tirer une taffe ou deux. T’es fort. Très fort. Faudrait que j’me mette au niveau. C’est vrai que je comprenais pourquoi il avait tant de meufs à ses pieds. C’était bien le genre de mec à faire fondre n’importe qui avec son regard de braise et ses allures de bad-boy. Si j’avais été une fille… non, bref. Là, ça va trop loin. Nous restions quelques secondes silencieux jusqu’à ce que Maël ne vienne briser ce silence, reprenant la discussion là où nous l’avions laissée. J’ai pas de mérite, ça fait des mois que j’essaie. Elle doit croire que je suis déjà opé’ pour le mariage celle-là. Cette discussion n’était pas des plus intelligentes, et pourtant, Maël et moi en avions des centaines comme ça. C’était des conversations de mecs de notre âge, à cela près que nous étions peut-être pire, c’est vrai. Mais peu nous importait. Maël pouffa de rire avant de poursuivre. Mais… pourquoi t’as pas réussi à aller plus loin ? me demanda-t-il enfin, curieux, sachant bien que moi aussi j’avais bien essayé de concrétiser avec cette fameuse Lizzie. Je n’avais pas honte de lui dire. De toute façon, nous nous disions absolument tout lui et moi alors s’il ne m’avait pas questionné sur le sujet, j’aurais probablement pris les devants. Bah apparemment, je “sortais” déjà avec sa meilleure amie, commençai-je en imitant les guillemets avec mes doigts. Sortir était un bien grand mot, et chez moi, il ne faisait pas réellement parti du dictionnaire. Bah tu vois, j’avais roulé une pelle à une meuf la veille. Je connaissais même pas son nom et puis c’était juste un baiser tu vois, rien d’officiel. Enfin les filles, tu sais ce que c’est… lâchai-je ensuite en levant les yeux au ciel. Bref, Lizzie a mal pris que je sois si entreprenant alors que j’avais déjà une relation. Je ris légèrement en prononçant le mot « relation », tirant ensuite une nouvelle taffe. Enfin voilà, je suis ressorti du cinéma avec la marque de cinq doigts sur la joue. Mec… tu crains tellement Comme à mon habitude, je frappai mon pote en le regardant interloqué. Je crains ? Mais qu’est-ce que tu dis ? J’ai touché les seins de Lizzie Hamilton, de quoi tu m’parles ? riai-je tandis qu’un sourire vainqueur vint étirer mes lèvres. Ouais mais moi je l’ai eue dans mon lit, rétorqua alors Maël. Et je ne pouvais pas lui enlever ça, c’est vrai. Il avait bien géré, encore une fois. ça, je m’en remettrai jamais, avouai-je avant que mon attention ne soit happée par une jolie poulette qui venait tout juste de passer devant nous pour s’asseoir sur le banc d’en face. Elle semblait attendre quelqu’un, mais pour le moment, elle était seule. Aussi, je ne perdis pas une seule seconde avant de mettre Maël au défi. Dix livres si tu lui donnes un rencard et qu’elle te donne son numéro sans te faire remballer. Fidèle à lui-même, le jeune homme accepta sans broncher. Et comme les trois quart du temps, il réussit sa mission avec brio. Ce mec m’épatera toujours. En même temps, après s’être tapé Lizzie Hamilton, il était capable de toutes les avoir ce branleur. Ça me faisait mal, mais ses dix livres, il était reparti avec. Nous étions donc sur le point d’aller voir ailleurs, quand une autre gazelle arriva pour rejoindre la première. Alors cette fois, c’était mon tour. Elle était beaucoup trop mignonne pour que je la laisse filer. D’ailleurs, je compris au regard que me lança mon pote que nous avions pensé exactement la même chose. Celle-là, je lui fais croire à monts et merveilles, je la mets dans mon lit, et ensuite je la largue. Je sens que ça va être trop facile. Elle avait l’air d’être bien naïve cette petite, et bizarrement, je n’avais pas vraiment pitié. Tout ce que je voulais, c’était en profiter. Bref. L'amour, ce n'était vraiment pas pour moi. Quand je vous dis qu’à agir comme un connard on devient un connard. Si Maël et moi devions créer une marque, elle s’appellerait sûrement comme ça. Mais l’avantage, c’était que nous étions deux là-dedans et qu’on vivait ça tellement bien.

► chapter four,
Si nous n’avions pas eu la chance d’être dans le même bâtiment scolaire que Timothy au temps du collège, le lycée avait eu l’avantage de nous réunir enfin. Comme les trois guignols que nous étions, nous en avions bien profité pour rattraper tout ce temps perdu à notre manière. Nous avions enchaîné conneries sur conneries, sans compter les heures de retenues et convocations à gogo. Mais c’était tellement bon de se retrouver à nouveau tous les trois, personne d’autre n’aurait pu comprendre. Personne d’autre sauf un autre garçon qui était naturellement venu compléter notre bande de Teletubbies. Ce mec, c’était Raphaël, un bon ami à Timothy. Evidemment, à notre arrivée au lycée, Maël et moi ne le connaissions pas, mais il avait la tête de quelqu’un qui respirait l’intelligence au moins autant que nous –c’est-à-dire, pas du tout– alors il avait vite fait de faire partie de notre belle bande de joyeux abrutis. Nous étions devenus inséparables, à tel point que nous avions même rejoins l’équipe de basket ensemble. Mais aujourd’hui, comme d’habitude, nous ne prêtions pas vraiment attention au professeur, ni au cours en lui-même. Se moquer des autres était bien plus amusant. Et puis il y avait de quoi faire en plus, pourquoi s’en priver ? Les cinq branquignoles qui s’amusent dans les gradins, descendez ! Bon, je ne pouvais pas non plus affirmer que j’étais un génie en maths, je passais mon temps à sécher les cours, mais je pensais tout de même savoir compter adéquatement pour pouvoir affirmer qu’à première vue, nous n’étions que quatre. A moins que le cinquième ne soit le mec blond qui se trouvait à quelques mètres de nous. Oui, vous cinq ! BOUGEZ-VOUS ! Instinctivement, je pouffai de rire avant de suivre les autres jusqu’au terrain. Bah quoi ? Il me faisait rire avec son petit short de sport. C’était vraiment un tue l’amour. Enfin, ce n’était visiblement pas un tue l’humour puisque notre très cher professeur nous baptisa automatiquement et officiellement « les cinq crétins ». ça marche pour les cinq crétins, balança simplement le nouveau venu. Nan mais quel abruti, il était d’accord en plus. Bof, de toute façon, ça leur allait bien ce nom aux autres andouilles à côté de moi alors je ne bronchai pas. C’est cadeau. Alors, qui occupe quel poste ? Qu’est-ce qu’on en savait nous, hein ? Nos cinq paires d’yeux s’échangeaient mutuellement des regards interrogateurs, et je devinai bien vite que mes camarades n’en savaient pas plus que moi. Bah v’voyez, y’a le beau-gosse, le mystérieux, la brebis, le charmeur… et le cerveau, répondis-je le plus naturellement du monde en souriant de toutes mes dents puis en nous désignant chacun notre tour - respectivement Maël, Alek, Raphaël, Timothy et moi. Après nous avoir dévisagé un par un –bah ouais, on est sexy mais quand même, c’est gênant– le professeur repris la parole tandis que ses joues devenaient rouge écarlates. HA-HA ! s’exclama-t-il avant de me donner un coup derrière la tête. Il m’énerve lui avec sa tête d’imbécile heureux… Allez, va rejoindre le pâturage. En place tout le monde, et débrouillez-vous ! Après avoir ri bêtement comme un abruti, je m’étais donc placé sur le terrain. Et finalement, nous avions beau être des crétins, on leur avait mis une belle raclé aux branleurs de l’autre équipe, et ça, ça n’avait pas de prix. WHO’S THE BOSS ?

Je crois que Maël et moi avions compris que nous étions accros le jour où on s’est tous les deux réveillés au milieu de la nuit complètement paniqués parce que nous avions consommé notre dernier sachet. Mais bon, la mauvaise foi nous étouffait parfois –souvent même– alors on continuait à affirmer qu’il n’y avait aucune addiction là-dedans, qu’on pouvait arrêter quand on le voulait. Oui mais le truc c’est qu’on ne voulait pas. Et puis après tout, la drogue n’avait pas que des mauvais côtés. C’est vrai quoi. Sans ça, nous n’aurions peut-être jamais été aussi proches d’Alek que nous le sommes maintenant. […] Ça sent la mort ici, me plaignis-je tandis que Maël et moi continuions d’avancer. Ah ouais désolée, c’est ma faute, dans la précipitation j’ai pas changé de chaussettes. Désespéré, je fixai Maël. Ça va, je rigole, imbécile, grogna-t-il. Et bah ça, ça valait bien un bon gros coup de poing dans l'épaule. Aïe ! Putain t’es violent, mec ! Bref. J’avais décidé de l’ignorer, au moins jusqu’à ce qu’on reparte d’ici, marchandise en main. D’ailleurs, je ne tardai pas à distinguer une silhouette à quelques mètres de là, silhouette qui, étrangement, me semblait familière. C’est moi ou est-ce que c’était bien l’abruti qui nous avait laissé porter le nom des « cinq crétins » pendant tout un match ? Bof, j’étais pas super physionomiste comme mec et je ne comptais pas souvent sur ma mémoire de goldfish, mais le pire dans tout ça, c’était que cette fois-ci, j’avais bel et bien raison. En effet, les suivants propos de Maël vinrent confirmer mes doutes. Bah tiens, si on pensait que c’était toi, on t’aurait directement demandé au lycée. C’est vrai que c’était plutôt bizarre comme situation. Nous nous étions déjà croisés plusieurs fois au lycée et nous avions même joué dans la même équipe de sport, sans jamais nous poser davantage de questions. Nous n’avions toutefois pas échangé plus que les quelques mots nécessaire à notre échange. Personnellement, c’était pas mon trip. J’étais là pour une seule chose, et je savais quoi. Le reste m'importait peu. Mais contrairement à moi, Maël semblait vouloir donner suite à cette rencontre. Mec, attend ! On fait une soirée ce soir, tu viens ? Je posai mon regard sur le blond afin de lui montrer que j’étais d’accord avec cette proposition moi aussi. En tant que fournisseur ou invité ? Les deux, répondis-je presque aussitôt avant de me présenter à lui. C’était un mec parmi tant d’autres, mais finalement, il était dans le même délire que nous. L’un dans l’autre, j’avais bien envie de le connaître davantage. Maël, enchaîna alors mon meilleur ami. Enchanté, Alek. Les présentations étaient faites. Et rapidement, notre amitié aussi.

Nous étions unis comme les cinq doigts de la main depuis un peu plus d’un an maintenant. C’était cinq fois plus d’immaturité dans un seul et même groupe et franchement, moi, j’adorais ça. Mais ça, c’était avant que l’on croise la route de cette brunette –chianli au possible– répondant au doux nom de Justine. Enfin, c’est ce que nous avions appris ce fameux vendredi soir où l’attention de Baptiste, le frère de Raphaël qui avait passé la soirée avec nous, s’était envolée ailleurs, très loin de nous. Aussi loin que l’était la dite Justine, en fait. Il fallait dire que nous avions tous rapidement compris le pourquoi du comment, à en juger par ses yeux aussi pétillants qu’une bouteille de champagne qui coûterait plus de 100 livres. Ah, ce Baptiste ! Quel lover. Un véritable cœur d’artichaut. En même temps, c’est qu’elle était bien jolie cette petite, et si seulement Baptiste et Timothy ne nous avaient pas menacé de nous fusiller sur place, Maël, Alek et moi en aurions sûrement fait quelque chose. Enfin. La vie est dure parfois. Ceci étant, nous nous étions rapidement fait une raison et n’avions pas perdu de temps avant de nous chercher d’autres proies. Bah oui, YOLO. Toutefois, nous fûmes très vites tirés de nos occupations par un cri strident. Ma première réaction fut de regarder Raphaël… mais apparemment, ce n’était pas lui. Bêtement, je suivis donc le regard de mes quatre acolytes qui étaient portés sur la brunette que nous avions remarquée en début de soirée. Elle s’est coincé quelque chose dans la braguette ou quoi ? T’es con ou quoi ? Tu vois pas qu’elle a des problèmes ? Ça, ça s’appelle un Timothy pas content du tout du tout. Mais en effet, l’heure n’était pas vraiment à la plaisanterie puisque la jeune fille avait apparemment du mal à se dépêtrer de la situation dans laquelle elle se trouvait, à savoir, prise entre cinq abrutis totalement pompettes et visiblement bien relous. Il n’en fallut pas plus à Timothy, Raphaël et Baptiste pour foncer dans le tas afin de venir en aide à leur amie. En toute solidarité, Maël, Alek et moi avions suivi le mouvement. Au final, plus de peur que de mal. De toute façon, les cinq pochetrons étaient bien trop torchés pour discuter adéquatement, et comme ils voyaient probablement double, nous n’avions pas de souci à nous faire quant à une éventuelle baston. Avec un peu de chance, ils se seraient même cogné entre eux ces abrutis. Après avoir récupéré la petite Justine, nous étions donc retournés à notre table en prenant soin de nous occuper d’elle tant qu’elle en avait besoin. Ce soir-là, encore un peu sous le choc, la belle n’avait pas été bavarde, mais ça… c’était avant. Depuis, je crois qu’il n’y avait pas un jour sans que sa voix de crécelle ne vienne nous briser les tympans. Mais il fallait croire qu’on était un peu maso, parce que le pire dans tout ça, c’est qu’on l’aimait bien cette chieuse.


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Emrys Swatherston

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(emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! Empty
MessageSujet: Re: (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça !   (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! EmptyDim 27 Oct - 16:56

☆ we all got stories to tell (partie 2).


► chapter five,
Y’AAAA QUEEELQU… Ah bah ouais, vous êtes tous là, lâchai-je alors que je refermai la porte derrière moi. Bon, ils avaient tous l’air d’avoir la tête dans le pâté, mais ils étaient tous là quand même. Moi, je n’avais pas dormi ici cette nuit –inutile de vous faire un dessin- alors j’ignorais ce qu’ils avaient bien pu faire pour être dans cette état à 11h00 du matin, mais ça faisait déjà bien longtemps que je ne me posais plus de questions. Parle moins fort putaiiiin, j’me sens encore trop vaseuse, hurla Justine de… je ne savais trop où. Je balayai la pièce du regard mais impossible de la trouver. Pire que « where is Charlie ? », le « where is Justine ? ». Enfin bref, je la laissai où elle était et me dirigeai vers Raphaël qui semblait en plein effort culinaire. Debout devant la gazinière, je crois bien qu’il essayait de se faire des œufs brouillés. Dis-moi, il a fait quoi ton frère pour que Justine soit dans cet état ? Il s’est enfin lancé ? Hein ? GO BAPTISTATOR, ATTAQUE MARTEAU-PIQUEUR ! Ah ce que j’aimais taquiner le bouclé avec ça. Il y avait une sorte de triangle amoureux entre ces trois-là qui m’amusait au plus haut point. Enfin, Titine était quand même vachement collante avec Raphaël, je sais pas… il veut pas d’elle, c’est comme ça. Mais Justine s’accroche comme une moule à son rocher, elle est chiaaante ! Le plus drôle, c’était qu’elle s’évertuait à nous faire croire que ce n’était pas vrai, et Raphaël, de son côté, défendait son frère corps et âme comme si c’était une tare d’être amoureux. Et encore cette fois, il ne dérogea pas à cette fameuse règle. Tu sais que t’es chiant ? Et puis en plus t’es con… et bouché aussi ! s’exclama-t-il alors en se secouant dans tous les sens telle une gazelle sautant dans les hautes herbes. Je le regardai faire, attendant qu’il ne se calme. Je ne pus toutefois pas m’empêcher de pouffer de rire. Il était vraiment ridicule, et lorsqu’il s’agissait de Justine et Baptiste, ça frisait la folie furieuse (un peu comme moi quand je vois que Justine fait sa lourdingue avec Raphaël m’voyez ? Oui, je l’avoue). Bah quoi, qu’est-ce qu’il y a ? Elle a pas aimé, c’est ça ? Nan mais tu diras à ton frère que faut pas prendre ça personnellement. C’est pas qu’elle l’aime pas toi, c’est qu’elle t’aime toi… et qu’elle me préfère moi encore plus. Alors je sais que c’est pas facile à entendre et encore plus difficile à digérer, mais faut vous faire une raison les mecs, lachai-je en mordant dans le sandwich que j’avais dans les mains. Je ne vais même pas user ma salive pour te répondre… Laisse-moi à mes œufs brouillés maintenant, tu seras sympa. Il ne te manque plus que ton petit tablier, tu serais sexy, lâchai-je en lui adressant un petit regard séducteur. Le pire c’est que c’était vrai. Enfin, je suis pas gay. Enfin je crois pas. Enfin, je suis sûr que non. Enfin bref. Mais quand même, il faut savoir être objectif dans la vie. J’suis Simone elle est bonne et j’suis trop bonne pour toi, j’suis Simone elle est bonne, cherche pas, tu… J’avais bien prévu de continuer dans ma lancée, je sentais bien que j’avais une grande carrière à faire dans la musique, mais mon pote me coupa délibérément la parole. C’est quoi que tu bouffes, toi ? Un sandwich au Nutella et au beurre de cacahuète. Je ris face à la grimace que m’adressa Raphaël. Et… tu l’as trouvé où ce… truc ? J’avalai le morceau de sandwich que j’avais encore dans la bouche avant de reprendre la parole. Bah en rentrant, j’ai croisé un mec qu’avait genre notre âge, et puis il se promenait comme ça, son sandwich à la main. Ça m’a donné trop envie tu vois, alors je lui ai demandé de me le filer. Le regard du bouclé m’incita à poursuivre, ce que je fis. Bah forcément, il a pas voulu alors je lui ai proposé ma PS3 contre son sandwich. Il a accepté. Quoi ? T’as filé ta PS3 a un mec pour un… sandwich ? Bah ouais ! Mais franchement, je regrette rien, lâchai-je tandis que j’avais encore la bouche pleine. Nutella et beurre de cacahuète, mec. C’est vrai quoi. Y’a des choses qui n’ont pas de prix. Perdu dans mes pensées, je me contentai alors de savourer ce fameux sandwich, mais je fus interpelé par la tête que tirait Susan Boyle – as known as Raphaël ici présent. Il semblait totalement absorbé par ses œufs, presque autant que l’était Justine quand Raphaël sortait de la salle de bain avec seulement une serviette sur le dos, vous voyez ? D’après toi, qui de l’oeuf ou de la poule était là en premier ? Nan, c’est pas possible. Il n’avait pas osé me poser cette question ? Dépité, je levai les yeux au ciel avant de lâcher un soupir de désespoir. Tu veux que j’te dise ? Mon cul est jaloux de toute la merde qui sort de ta bouche. Il était vraiment abruti ou bien ? Heureusement que je ne choisissais pas mes potes au degré d’intelligence ; les boucles, ça pèse sur le cerveau, faut croire.

S’il n’ouvrait pas la porte tout de suite, j’allais faire sur moi, c’était clair et net – ou alors sur Justine, je n’avais pas encore décidé. Eh, pause caca, t’en as encore pour longtemps ? hurlai-je en tambourinant frénétiquement à la porte des toilettes. J’adorais appeler Maël comme ça parce qu’il occupait toujours les chiottes quand j’en avais besoin, et aussi parce que cela faisait référence, par la même occasion, à ce fameux épisode d’American Pie. Et nous, American Pie, bah on adore. Prends ton mal en patience, j’ai pas fini. Ouais bah ça, j’avais bien remarqué qu’il n’avait pas fini, et c’était justement ça le souci. Y’avais bien les toilettes de l’étage mais, comme l’indique leur nom, elles sont à l’étage. Je n’avais aucunement l’intention de monter toutes ses marches pour ça. Maël n’avait qu’à aller plus vite. Putain Maël, t’es constipé ou quoi ? Pour seule réponse, je n’entendis que le silence. Ok. De deux choses l’une : soit il s’était noyé, soit il s’était endormi. Aucune de ces deux solutions ne me surprendrait de toute façon. Après avoir lâché un soupir puis attendu encore quelques secondes qu’il daigne me répondre, je frappai de nouveau contre la porte de toutes mes forces. Au moins, s’il dormait, il ne dormait plus maintenant. COULE TON BRONZE ET BOUGE DE LA PUTAIIIIIIN ! Mais attends, je réfléchis ! Qu’est-ce que j’avais fait au ciel pour mériter ça ? Et pourquoi est-ce que cet imbécile avait besoin d’être sur le trône pour réfléchir, hein ? Si seulement quelqu’un avait pu me répondre. Et tu réfléchis à quoi exactement ? le questionnai-je par simple curiosité. Un synonyme de « espiègle » en cinq lettres. J’aurais pû me foutre de sa gueule, c’est clair. D’ailleurs, j’aurais dû me foutre de sa gueule. Mais au lieu de ça, je m’étais mis à réfléchir moi aussi. Le plus naturellement du monde, j’avais ouvert la porte –rpz Maël qui ferme jamais le verrou– et m’étais installé à ses côtés de manière à voire la grille complète. Le pantalon en bas des pieds, il ne semblait même pas embarrassé, beaucoup trop concentré sur ces fichus mots-fléchés qui semblaient réellement lui poser des problèmes, et des gros en plus. C’est un force 3, trop de grillage de neurones. Franchement, il n’avait pas tort. Quinze bonnes minutes après, nous étions toujours là, comme deux perdus. Salut les mecs ! nous lança Timothy alors qu'il fis un bref passage par ici. C’était peut-être ça le pire : il ne trouvait même pas cette situation bizarre, en fait. Probablement que c'était devenu une habitude. Je n’avais qu’une chose à dire : swag on us.

Tu vois, ça, c’est un aspirateur, m’annonça Timothy le plus naturellement du monde. De mon lit, je regardai le jeune homme dans l’encadrement de la porte, l’engin à ses côtés. Ouais, et ? Tim’ me regarda comme si j’étais un abruti. Et ? D’après toi, on fait quoi avec un aspirateur ? Des pop-corns ? Comme je restai muet, il reprit presque aussitôt la parole. Avec un aspirateur, on aspire ! Alors tu vas être gentil, tu vas ranger ton bordel, et une fois qu’on verra le sol, tu passeras l’aspirateur. J’arquai les sourcils. Franchement, j’ai une tête de femme de ménage ? Va demander à Raphaël tiens, ça l’occupera. Désolé mais c’est pas les caleçons de Raphaël qui trainent partout dans la maison, rétorqua-t-il en brandissant l’un de mes sous-vêtements. Ah ouais. Evidemment, Tim’ n’était pas du genre à être chiant et à nous forcer à faire le ménage ou à ranger notre chambre, mais là, il s’avérait que ça devenait l’affaire de tout le monde. Atteint de bordélite aigüe, j’avais tendance à m’étaler c’est vrai. Et le pire, c’est que je ne m’en rends pas vraiment compte. C’est partout chez moi, même dans la chambre des autres, normal. Pourquoi t’es si cruel avec moi, hein ? me plaignis-je en faisant la moue. Crois-moi, c’est moins cruel de passer l’aspirateur que de vivre parmi tes slips et des chaussettes. Personnellement, je m’y accommodais facilement mais bon. J’étais de bonne composition aujourd’hui. Après avoir tout de même exprimé mon mécontentement en soupirant plus d’une fois, je m’étais exécuté. Enfin, tout était relatif. Les affaires qui jonchaient le sol avaient été minutieusement glissées sous le lit, ma cachette favorite. C’est ça, fais ce que je te dis, femme ! me lança Timothy en retournant sur la palier. Heureusement pour lui qu’il n’était plus là, sinon il aurait gouté à mon oreiller. […] QUELQU’UN A VU MON PENDENTIF ? VOUS SAVEZ, CELUI AVEC LA PETITE PERLE BLANCHE ! Je n’eus pas le temps de réagir que je vis Timothy rentrer en trombe dans ma chambre. T’as pas fait ça ? MAIS QUOI ? J’AI FAIT QUOI ENCORE ? demandai-je à l’intention de Tim. T’as aspire le pendentif de Justine ? Quoi ? Mais j’en sais rien moi ! Mais si, c’est forcément toi ! rétorqua-t-il en sautant littéralement sur le monstre qu’était pour moi l’aspirateur. Mais en même temps, qu’est-ce qu’il pouvait bien foutre là son putain de pendentif ? Bah… j’ai dû l’emmener avec moi sans faire exprès. Il a dû s’accrocher à un de tes boxers que je t’ai ramené et voilà ! De toute façon c’est toujours de ta faute, conclus simplement Timothy comme si c’était la chose la plus normale du monde. Bon, c’est vrai que la majeure partie du temps, c’était de ma faute, mais quand même. Un peu de tact ne fait pas de mal. Je vais finir par faire une dépression nerveuse si ça continue. Perdu dans mes pensées, je ne remarquai même pas que Tim’ avait déjà ouvert l’aspirateur, cherchant à ouvrir le sac qui se trouvait à l’intérieur. Altruiste comme j’étais, je ne pus m’empêcher de l’aider. D’un geste vif, j’attrapai le sac que je vidai sur la tête de Timothy. JE VAIS T’EMPUTER DE TOUS LES MEMBRES ESPÈCE DE… oh, le pendentif de Justine. Je ne pus m’empêcher d’éclater de rire face à sa réaction. Ah, merci, lâchai-je avant de le lui extirper des mains et de quitter la chambre en courant avant de me faire arracher les bras et les jambes par Tim’. Je n’avais aucune envie de devenir une madeleine, moi. JUSTIIIIIIIIIIINE ! J’ai ton pendentif ! C’est Timothy qui l’avait aspiré ! m’exclamai-je, à la recherche de la brunette. La prochaine fois, il y réfléchira à deux fois avant de me demander de passer l’aspirateur.

Les mains pleines de pots de crèmes de toutes sortes, je rejoignis Alek dans le jardin. Il était étalé dans l’herbe de tout son long, vêtu uniquement d’un boxer. Bon voilà. J’ai fouillé dans les affaires de Justine et c’est tout ce que j’ai trouvé. Maintenant, tu peux me dire ce que t’as l’intention de faire de tout ça ? Le blond ne pris même pas la peine de me regarder pour me répondre, poursuivant ainsi sa séance de bronzage intensive. J’ai une peau de norvégien, mec ! Faut que j’me protège si j’veux pas muer comme un serpent. Parler astuces beauté et santé avec Alek, c’était bien la première fois que ça m’arrivait. Je restai d’ailleurs siencieux quelques secondes tant la situation était grotesque. T’as qu’à t’enrouler dans du cellophane, t’auras moins de problèmes. Ou mieux encore, il n’avait qu’à rester tranquillement au loft plutôt qu’à venir lézarder ici en courant le risque de rentrer ce soir avec des cloques partout sur le corps. Ceci étant, ce jour là, je crois que je rigolerais bien. Je veux bronzer, pas me reconvertir en jambon, rétorqua alors le jeune homme qui était visiblement bien décidé à aller jusqu’au bout de son idée, aussi farfelue soit-elle. Sans rien ajouter de plus, je vis son bras s’étirer pour venir piocher dans un saladier qu’il avait posé à ses côtés. Qu’est-ce que tu bouffes ? Bah tu vois, des coquillettes. Je me penchai légèrement vers le saladier pour vérifier mes doutes. Mais… elles sont crues… lâchai-je en émettant une légère grimace. Mais ce n’était visiblement qu’un détail qui ne semblait pas déranger Alek. Et alors ? C’est croustillant, c’est comme des céréales. Voyant que j’étais plutôt sceptique face à cela, le blond poursuivis ses explications. Bah j’ai bien essayé de les faire cuire mais après une demie-heure sans résultat, j’ai abandonné. Rassure-moi, t’as mis de l’eau dans la casserole ? Le regard que me lança alors Alek répondit pour lui. Alors lui, c’était vraiment une catastrophe. Moi-même je n’étais pas un grand chef cuisinier mais je savais tout de même me faire cuire des pâtes. Comment je pouvais savoir, moi ? D’habitude c’est Justine qui fait ça, plaisanta-t-il avant de rire. D’ailleurs, en parlant de Justine… Je l’observai se redresser puis attraper un tube de crème au hasard, puis s’affairer à arracher l’étiquette. Tu m’aides à enlever toutes les étiquettes ? On va faire crier Justine. Alors là, je ne pouvais pas refuser. Lorsqu’il s’agissait de faire chier la Titine, j’étais toujours le premier. Je ne perdis donc pas de temps pour suivre Alek qui, soit dit en passant, se tartinait de toutes les crèmes au passage. Bah oui, il ne fallait pas oublier sa peau de norvégien pour autant, quand même.

EEEEEEMRYYYYYYYYYS ? Ok. Ça, ça sent mauvais. T’ES OÙÙÙÙÙÙÙÙ ? Le plus loin de toi possible ! criai-je du canapé où j’étais affalé comme un lézard au soleil. Malheureusement pour moi, Justine ne tarda pas à me retrouver et à se poster juste devant la télévision. J’arquai les sourcils, la dévisageant de haut en bas. Ferme les yeux et concentre-toi bien. Avec un peu de chance, tu vas disparaître. Toutefois, la tête de trois pieds de long que tira la brunette suite à ma remarque me mis rapidement dans l’ambiance. Ok, l’heure est grave mes amis. Je me redressai légèrement avant de poursuivre. Quoi encore ? soupirai-je, appréhendant déjà sa réponse. C’est toi qui a fouillé dans mes affaires de cours ? Je ne pus m’empêcher d’émettre un léger rire. J’avais déjà assez de mes cours comme ça sans m’occuper de ceux des autres. Mais où est-ce qu’elle allait chercher ses conneries celle-là ? Et pourquoi ce serait moi ? la questionnai-je en me plaignant par la même occasion que de toute façon, c’était toujours de ma faute, et bablabla. Ce genre de discours qui me permettait de révéler aux yeux du monde la martyrisation dont j’étais victime dans cette baraque. Bah j’sais pas, une intuition. Sans même me laisser le temps de répondre, elle brandit son agenda qu’elle vint déposer juste sous mes yeux de manière à ce que je voie le massacre. Qui d’autre aurait pû prendre un surligneur et écrire “Emrys” partout sur mon agenda avec des cœurs tout autour, hein ? Surtout, ne pas rire. Je me pinçai les lèvres tandis que je fixai mon œuvre dont j’étais plutôt fier au final. Bah j’sais pas moi, demande à Maël, tu sais bien qu’il est fou amoureux de moi, commençai-je avant de lever les yeux vers la jeune femme. Ou peut-être bien que c’est toi ? Et tu me fais porter le chapeau parce que t’assumes pas. Alors là y’a aucun risque ! hurla Justine avant de m’asséner un grand coup d’agenda sur la tête. Eh mais ça va pas ou quoi ? J’y peux rien, j’ai des tendances somnambules ! J’fais des choses la nuit, c’est quand même pas une raison pour me frapper espèce de… sorcière ! C’est vrai que quand elle s’y mettait, elle avait vraiment des allures de psychopathe, et pas qu’un peu. Pour en avoir fait si souvent les frais, je savais de quoi je parlais. C’est ça ouais, prends-moi pour une blonde ! Le petit haussement de sourcil qui accompagna mon hochement de tête en mode « bah en même temps, comment faire autrement ? » n’échappa pas à Titine la menace qui se mit à crier en y mettant tout son cœur et ses poumons. JE T’EMMEEEEERDE ! Bof, ça avait le mérite d’être clair. Je ne perdis pas de temps pour prendre la parole à mon tour. On est deux ! Tu sais quoi ? Tu es le gras dans mon jambon, l’ampoule sous mon pied, le morceau de saucisson coincé entre mes dents, le caillou dans ma chaussure ! Ah ouais ? Et ça veut dire quoi ça ? Ça veut dire que tu m’les brise ! Les lèvres pincées et les poings serrés, la brunette se contenta de tourner les talons et de quitter le salon, non sans un dernier mot de conclusion. BRANLEUR ! GROGNASSE ! C’est ainsi que Justine et moi nous déclarions quotidiennement notre immuable amour. Du romantisme à l’état pur.

Je frappai frénétiquement contre la fenêtre de je ne savais quelle chambre. Peu m’importait en fait. Tout ce que je voulais c’était rentrer à la maison. Un immense sourire vint étirer mes lèvres lorsque je vis la bouille de Timothy ouvrir la fenêtre. Emrys ? Mais qu’est-ce que tu fous là ? Bah j’ai paumé mes clés. Alek a bien essayé de forcer la porte avec un bout de bois mais il a pas réussi alors… J’entendis Timothy soupirer mais je ne répondis rien, tentant de me hisser à l’intérieur de la chambre avec une aisance remarquable – on se sent toujours plus athlétique quand on est défoncé, c’est vrai. Il est cinq heures du mat’ putain, tu fais vraiment chier ! Bizarrement, tes sachets, tu sais toujours où ils sont eux. Si seulement c’était pareil pour tes clés. Oh ça va, épargne-moi la leçon de morale. Occupes-toi plutôt de Maël, il est en train de dormir dans le jardin. Bon en même temps, j’avais bien mis trois bons quarts d’heure à escalader cette fichue gouttière alors évidemment, il avait eu le temps de se laisser emporter par le sommeil. Alors que Tim’ passa la tête par la fenêtre pour vérifier mes dires, je fis de même. C’est ainsi que je remarquai qu’Alek était en train de se battre avec quelque chose à l’entrée, tenant son portefeuilles dans une main. Putain, rends-moi la monnaie espèce d’enfoiré de distributeur ! hurla-t-il en secouant le “distributeur” en question. Machinalement, je plissai les yeux afin de mieux distinguer ce dernier. Eh, mec ! C’est pas un distributeur, c’est la boîte aux lettres ! Alek ne sembla pas lâcher l’affaire pour autant. J’en ai rien à foutre, j’vais la buter ! Et c’est d’ailleurs ce qu’il fit. Désespéré, Tim’ lâcha un lourd soupir qui semblait en dire long sur son état d’esprit actuel. Bon, dépêche-toi d’aller leur ouvrir la porte, moi je retourne au lit. Démerdez-vous. Avec un sourire totalement idiot sur le visage, je remerciai mon pote, puis me dirigeai vers le palier. C’est vrai, j’avais eu tendance à penser que j’allais galérer à descendre les escaliers dans mon état… mais en fait, non. Il me suffit de trébucher sur une marche pour le dévaler plus vite que je ne l’avais jamais dévalé. Après ? Bah… je ne m’en souviens plus. […] Le lendemain, je savais que je la trouverais dans la chambre de Raphaël. Quand elle dormait ici, Justine, c’était toujours dans la chambre de Raphaël. Enfin, en tout bien tout honneur, bien sûr. En entrouvrant la porte, je remarquai que la pièce était encore plongée dans le noir complet et que… VLAAAM. Ça, c’est un chausson qui avait bien failli m’atterrir dans la poire. LAISSE-MOI, JE DOOORS ! Ça va, j’te laisse mais… t’aurais pas du rouge à lèvre et des bigoudis à me prêter ? La demoiselle ne dit rien, cherchant péniblement l’interrupteur de la lampe. Elle se redressa ensuite dans son lit, se contentant de m’adresser un regard interrogateur du genre « very interesting, please tell me moooore ». Me pose pas de questions. T’en as ou t’en a pas ? Mes affaires sont dans la salle de bain, débrouilles-toi avec espèce drag queen, lâcha-t-elle simplement avant de retomber dans le lit comme la larve qu’elle était. Alors que j’étais en train de rebrousser chemin, je me tournai une dernière fois vers Justine. Merci. Oh et puis avant que j’oublie, dis à Baptiste qu’il peut sortir de sous la couette. Je sais qu’il est là, y’a son pied qui dépasse. Voyant que le pied en question venait tout juste de se dissimuler de nouveau sous les draps, je ne pus m’empêcher de rire puis quittai la pièce afin de me rendre dans la salle de bain, et d’emporter ce dont j’avais besoin jusqu’au salon où m’attendait Maël. Il est toujours là le chien ? Oui, le chien. Comment il était arrivé là celui-là ? J’en savais trop rien. Maël et moi avions fini par nous endormir ensemble sur le canapé, un peu trop dans les vapes pour monter jusqu’à notre chambre –qu’on n’aurait pas réussi à trouver de toute façon. Et ce matin, on s’était réveillé à trois, avec un petit chien entre nous deux. Bref, nous avions vite fait de nous trouver une occupation digne de ce nom grâce à cet adorable toutou aux cheveux longs. J’ai dégoté une brosse et un sèche-cheveux les gars ! nous cria alors Alek en descendant précipitamment les escaliers. On va en faire un top model, assura Maël avec un sourire malicieux qui n’annonçait pourtant rien de bon. Il ne nous fallut pas plus de quelques minutes pour faire de ce chien une œuvre d’art. Nous étions d’ailleurs sur le point d’aller montrer le résultat aux trois autres, mais des coups contre la porte nous interpelèrent. Sans plus attendre, j’allai ouvrir et tombai nez à nez avec une dame d’environ soixante, soixante-dix ans. Excusez-moi messieurs, j’ai perdu mon chien hier soir et je voulais savoir si vous ne l’auriez pas vu. J’étais sur le point de répondre mais l’aboiement du chien en question me coupa dans mon élan. Avec ses deux jolies petites couettes, son rouge à lèvres et ses barrettes de couleurs, la petite boule de poils montra vite le bout de son nez. Oh mon Dieu ! Mais… mais qu’avez-vous fait à mon Bibou ? Alors que je me pinçais les lèvres afin de ne pas pouffer de rire devant elle, je sentis la présence de mes deux potes derrière moi. Votre Bibou ? s’enquit Alek en grimaçant. Je crois que lui aussi se retenait tant bien que mal d’éclater de rire. Maël, lui, riait déjà aux éclats comme un pauvre perdu en se dandinant dans tous les sens. C’est doux, c’est frais, c’est romantique… j’adhère ! lâcha-t-il tout de même entre deux crises de rire. Je suis tout à fait de ton avis… mon Bibou. La vieille dame était en train de devenir rouge pivoine et ses yeux semblaient nous fusiller à chaque mot de plus que l’on osait prononcer. Oh… Je… j’ai autre chose à faire que de discuter avec des chenapans comme vous qui se sont pris pour des toiletteurs pour chiens voyez-vous, se plaignit-elle après avoir récupéré son animal. Nous, des toiletteurs pour chiens ? Ecoutez-moi bien ma p’tite dame, commençai-je en prenant un air grave et en tentant de garder mon sérieux du mieux que je le pouvais. Nous, on est des artistes, ok ? Des artistes tourmentés par les ouragans de la création, ne vivant que pour et par le pouvoir de notre œuvre… vous saisissez ? OH ! Oh… oh… ne cessait de répéter la vieille dame tandis qu’elle s’éloignait à reculons. Allez, au revoir madame, merci pour votre visite. Bande de petits voyous ! Excusez-moi mais je n’entends pas tout, j’ai perdu mon sonotone dans l’évier. Mais merci quand même. Bien le bonjour chez vous ! Suite à mes propos, je laissai Alek claquer la porte. Au même moment, Timothy fis son entrée et resta planté là quelques minutes à admirer le spectacle – à savoir, nous, totalement bidonnés. Qu’est-ce que vous avez encore fait bande de crétins ? T’occupe pas mec. BUTTFIVE ! criai-je avant de sauter et de cogner mes fesses dans les siennes.

« Souvent on vous demande comment vous voyez votre avenir. Que répondez-vous ? Que vous vous voyez acteur, médecin ou encore chauffeur de bus, marié avec six enfants, une grande maison, une piscine et un jardinier ? Moi ce que je vois, c'est juste moi avec eux. Parce que je me vois partir en voyage avec eux, faire des road trip, danser le rock sur la plage à deux heures du matin, manger de la chantilly à la cuillère en racontant des idioties, apprendre le chinois, ou même apprendre à faire du surf. Je nous vois tous dans un café, emmerdant les clients parce qu'on parle trop fort. Je nous vois autour d'un feu de camp à chanter du One Direction ou même du Edith Piaf, pourquoi pas ! Je nous vois regarder nos vieilles photos et rigoler devant nos têtes, se rappelant toutes ces choses folles qu'on a faites comme sniffer du sucre, monter sur l'échafaudage d'une église ou se courir après pour récupérer l'agenda qu'on s'est fait prendre. Ressasser les souvenirs, nos mensonges et nos embrouilles aussi, nos cris, nos pleures, nos rires, nos réussites. Voilà moi je ne me vois pas PDG d'une grande entreprise, non. Je me vois juste avec eux à m'éclater. Parce que j'ai compris que les gens sont comme des chansons. Il y a celles qui passent à la radio, qui nous frappent, mais dont on ne connait pas le titre. D'autres qu'on prend pour mettre sur notre Ipod, mais après quelques temps, on ne les écoute plus. Il y en a d'autres qu'on oublie, puis qu'on finit par réécouter, en se rendant compte qu'elles nous fascinent toujours autant. Et puis il y a eux : la bande originale de ma vie. »



Dernière édition par Emrys Swatherston le Dim 27 Oct - 17:42, édité 1 fois
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Robb Mainfield
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MessageSujet: Re: (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça !   (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! EmptyDim 27 Oct - 16:59

et voilà pour les deux postes (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 1992405834 désolée les filles, va falloir reposter Arrow (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 1992405834 et sinon bienvenuuuuuuuuuuuuuuuuue ma chérie. encore un personnage de malade (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 3021706744 je suis déjà fan de ton profil (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 1992405834 (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 1992405834 (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 3021706744 et puis, il est quand même beau ce con (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 1407023189 trop contente de te retrouver ici, garde moi un lien I love you
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MessageSujet: Re: (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça !   (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! EmptyDim 27 Oct - 17:02

aaaaaaaaaaaaaaaah j'me suis dis "merdeeeeeeee j'me suis trompée de fiche ou quoi ?" (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 1992405834 (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 1992405834 
enfin comme je disais, bienvenue ici, j'espère que tu te plairas ici et j'ai hâte de voir c'que vous nous avez préparer. (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 2590845377 (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 1754780055 et j'suis d'accord, il est pas vilain. (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 2640265990  
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Emrys Swatherston

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    Merci beaucoup les fiiiiiilles, moi aussi je suis très contentes de vous retrouver ici ! Razz 
    Je vous garde un lien avec plaisir. i love you 
    (Oui je sais je sais, c'est le plus beau mon bb :out:)


Dernière édition par Emrys Swatherston le Dim 27 Oct - 17:04, édité 1 fois
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Roseann Hastings
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MessageSujet: Re: (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça !   (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! EmptyDim 27 Oct - 17:02

ah ben voila, n'importe quoi ce que je fais (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 1992405834
bon je me répète du coup (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 1992405834 bienvenue ici et bonne chance avec ta fiche I love you
hâte de découvrir ton personnage.
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Emrys Swatherston

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MessageSujet: Re: (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça !   (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! EmptyDim 27 Oct - 17:05

    Haha, meci beaucoup ! (J'adore le prénom de ton personnage (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 2723842665 )
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Justine Garnier

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MessageSujet: Re: (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça !   (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! EmptyDim 27 Oct - 17:12

coucou toi (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 2640265990 (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 2590845377 i love you 
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MessageSujet: Re: (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça !   (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! EmptyDim 27 Oct - 17:19

    SALUT LA GROSSE (fais pas genre, j'ai vu ton avatar, espèce de sumo des montagnes).
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Justine Garnier

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MessageSujet: Re: (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça !   (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! EmptyDim 27 Oct - 17:27

tu m'énerves déjà, c'est fou hein.
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Raphaël Da Costa

Raphaël Da Costa

DATE D’ARRIVÉE : 27/10/2013
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MessageSujet: Re: (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça !   (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! EmptyDim 27 Oct - 17:27

TBO (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 2640265990 sex1 sex2 bed sex3 (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 3005872350 (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 1085284900 
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Emrys Swatherston

Emrys Swatherston

DATE D’ARRIVÉE : 27/10/2013
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MessageSujet: Re: (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça !   (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! EmptyDim 27 Oct - 17:31

Justine, c'est l'amour en toi qui bouillonne.
Raphael, t'es pas mal non plus. GET IN MY BED.
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Chjara Mattei
› full-time super mummy.
Chjara Mattei

DATE D’ARRIVÉE : 20/09/2013
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DOMICILE : avec ashley dans un appart' avec sa fille ornella.
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MessageSujet: Re: (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça !   (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! EmptyDim 27 Oct - 17:48

(emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 3021706744 il est quand même trop beau c'lui là! i love you 
bienvenueeeee ici, et puis niveau histoire, t'as battu marie, j'pensais pas que c'était possible (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 1992405834
j'vais me faire un plaisir de lire tout ça (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 2640265990 
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Ashley Rydell
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Ashley Rydell

DATE D’ARRIVÉE : 19/09/2013
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MessageSujet: Re: (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça !   (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! EmptyDim 27 Oct - 17:49

(emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 1992405834 (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 1992405834 (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 1992405834 (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 1992405834 (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 1992405834 
à celle qui te valideras. (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 3021706744 
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Emrys Swatherston

Emrys Swatherston

DATE D’ARRIVÉE : 27/10/2013
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MessageSujet: Re: (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça !   (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! EmptyDim 27 Oct - 18:02

    i knoooow hehe. (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 2640265990 
    MDRRRRRRRR pourquoi tout le monde se moque de la taille de ma présentation ? nia nia ! (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 1992405834 (ceci étant, je crois que je n'ai jamais fait une présentation aussi longue, haha)
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Katie Hitchcock

Katie Hitchcock

DATE D’ARRIVÉE : 17/10/2013
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MessageSujet: Re: (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça !   (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! EmptyDim 27 Oct - 18:16

myy gosh la longueur de fiche (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 3021706744 (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 3021706744 (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 1992405834
bienvenue :hrt:
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Jean GreyJoy

Jean GreyJoy

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MessageSujet: Re: (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça !   (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! EmptyDim 27 Oct - 18:19

(emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 1992405834 (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 1992405834 (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 1992405834  et dire que j'ai fais 3 situations dans ma fiche et j'me sentais superwoman (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 3728257965 (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 3021706744  bienvenuuuuuue (ici jude/marni (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 3805686263 ), j'vois que tu nous prépares encore un perso de malade, comme toujours (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 3021706744 leche 
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Emrys Swatherston

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MessageSujet: Re: (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça !   (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! EmptyDim 27 Oct - 18:28

MDRRRRRRRRRRRRRR arrêtez j'me sens comme un extra-terrestre là ! (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 3021706744  (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 1992405834 (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 1992405834 (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 1992405834 
Mais merci tout le monde ! (Ahhhh ça fait tellement plaisir de vous retrouver ici ! (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 2723842665 )
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Maël Finlay-Joly

Maël Finlay-Joly

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ESPECE DE BG JE BAAAAANDE RIEN QU'EN VOYANT LE BOUT DE TON NEZ. string 
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Chjara Mattei
› full-time super mummy.
Chjara Mattei

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MessageSujet: Re: (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça !   (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! EmptyDim 27 Oct - 19:21

bienvenue à seattle !
~ installe toi confortablement.
☆ ☆ ☆ ☆ ☆

J'AI TOUT LUUUUUUUU! crazy j'adore le personnage, et je pense qu'on pourrait avoir un lien explosif avec milenka (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 2640265990 sur ce, amuse toi bien parmi nouuuuus i love you 
☆ ☆ ☆ ☆ ☆

et voila, ça y est, ta fiche est au top, tu vas pouvoir poser tes valises à seattle et ça c'est cool. déjà, tu feras bien d'aller vérifier dans le bottin que ta tête est bien là, une erreur ça peut arriver, donc autant être sur. après, tu peux aller jeter un coup d'oeil aux annexes, si c'est pas déjà fait, ça peut toujours servir.
et puis après tout ça, les choses sérieuses commencent ! histoire d'avoir plein de potes pour faire des grosses soirées et compagnie, vas donc te faire une fiche de liens. après, on va te demander d'aller recenser ton métier ainsi que ton logement, pour qu'on puisse tous s'y retrouver. ah et puis si t'aimes la technologie, je te conseille d'aller acheter un téléphone, pour que tes amis puisse te joindre n'importe quand, tu vois. enfin après tout ça, je pense que tu seras crevé, alors vas donc faire un tour dans le flood et les jeux, ça va te détendre et tu pourrais parler avec les autres membres. n'hésite pas à faire un tour sur la cb aussi, y'a une trop bonne ambiance.hihi
et puis aussi, profite de ton arrivée pour aller poster dans les deux topics communs, t'as le choix y'a un festival et une monstrueuse soirée d'halloween. like

voila voila, je t'ai dit tout ce que tu devais savoir. si t'es perdu, si t'as besoin de quoi que ce soit, n'hésite pas à joindre une des administratrices, on est là pour toi i love you
marie, romane, kelly et camille. on t'aime leche
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Emrys Swatherston

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MessageSujet: Re: (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça !   (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! EmptyDim 27 Oct - 19:31

Maël, ça tombe bien, j'avais besoin d'un rouleau à pâtisserie Arrow (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 1992405834 
MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII BEAUUUUUCOUUUUUUUUUUUP ! (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 345845642 
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Maël Finlay-Joly

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bah suffisait de demander, j'te prête le mien quand tu veux. (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 1992405834 (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 1992405834 
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Emrys Swatherston

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Viens par là bb. (emrys) mais oui, il nous faut des pouvoirs magiques ! - c’est ça ! j’vois pas en quoi c’est une bonne nouvelle, mais c’est ça ! 2640265990 
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