CHAPITRE CINQ : JE T'AIME JUSQU'AUX ETOILES ET PLUS ENCORE. Tu ne connais pas l’amour ?! Tu as raté ta vie. L’amour fait partie de la vie, quoi qu’il arrive. De différentes manières, mais la plus belle c’est l’amour indescriptible que l’on peut porter à un être que l’on veut à ses côtés jusqu’à la fin de sa vie. Il commence par un regard, puis des paroles échangées, puis des actes échangés. Depuis que Joanne à quitter l’hôpital, il s’en est passé du temps. Maxim avait maintenant quatorze ans. Quatorze ans, ont y connait quoi à l’amour allez-vous me dire ?! Pas grand-chose, mais on est naïf…  « Je t’aimerais toujours Karo ! » « Tu es mon premier amour Maxim rien ne nous séparera » Vous trouvez ça niais ?! C’est bien vrai, et Maximilian se trouve niais lorsqu’il repense à cette période de sa vie, mais il ne peut s’empêcher d’y repenser encore et encore, c’est l’amour et on n’oublie pas un premier amour comme ça !

CHAPITRE SIX : IL PARAIT QUE LE PASSE NOUS RATTRAPE TOUJOURS ? MALHEUREUSEMENT. Un papier qui tombe de son casier, un sourire qui s’efface lorsqu’il voit que ce n’est pas celle qu’il aime qui lui envoi, comme à chaque fois qu’un papier tombe de son casier. « On l’a, rejoins-nous à l’entrepôt, ou tu ne la verras plus qu’en petit morceau. » Soudain, un flash-back avec une conversation qu’il avait jugé inutile de poursuivre. En même temps, il se fichait bien du passé de Stein, ou encore de Tomas ils avaient été jeunes, les erreurs, tout le monde en fait. Mais là, ces bulldogs osaient s’en prendre à la personne qui comptait le plus pour Maxim, alias Karolina, sa petit-amie. C’est donc tête baissée qu’il quitta le lycée sans même avoir terminé sa journée pour voir celui qui osait s’en prendre à elle. A son arrivée, un mexicain s’approcha de lui dangereusement. Mais lorsqu’il dit qu’il est prêt à tout pour elle, ils ont raison. Maxim n’avait jamais ressenti une telle force en lui, et le mexicain ne se releva pas de suite. « C’est toi qui ose t’en prendre à mes gars ?! Joli coup ! » «  C’est toi qui ose t’en prendre à Karo ?! Parce que le coup risque de finir sur ta gueule ! » Maxim ne savait pas dans quoi il s’embarquait, et c’était bien dommage. On ne s’attaque pas à ce que l’on appelle « un baron de la drogue » sans une assurance, ou au moins sans avoir prévenu quelqu’un. « Viens donc t’asseoir petit ! » annonça l’un d'eux en s’installant sur un gros fauteuil. Maxim se serait cru dans un vieux film de mafieux, mais ne s’assit pas pour autant. « A ta guise ! Je vois que tu as reçu notre message, et j’ai appris que tu as voulu tourner le dos à ton héritage. Cela ne me plaît pas ! » «  Écoutez monsieur, ce n’est pas mon héritage, ce ne sont pas mes erreurs, voyez ça avec les personnes concernées. && rendez-moi Karo, elle n’a rien fait ! » « Tu vois, le problème c’est qu’on nous a indiqué que tu étais la personne concernée, c’est donc ton héritage, petit ! » Que lui racontait-il, la personne concernée, son regard montrait à quel point il était perdu. C’est un sourire satisfait qui s’affichait sur le visage du gros. « On te rendra ta précieuse une fois que tu auras fait une petite course pour nous. » Un sachet plastifié blanc se posa sur le bureau. « Va ! Nous t’enverrons les indications par SMS dans la soirée. » Une simple livraison, et il récupère celle qu’il aime, marché satisfaisant. […] « N’oublie pas notre deal petit. » Encore un SMS de Fuentes, mais il tenait Maximilian avec Karo depuis une semaine maintenant. Certes il avait rendu Karolina à Maxim suite à la livraison, mais il avait été clair, Maxim lui appartenait à présent, et au moindre écart Karo finirait dans un ravin.


CHAPITRE SEPT : LES HAPPY ENDING N'EXISTENT PAS. « Babe’ dis-moi ce qu’il se passe, tu as changé depuis que ces gars m'ont enlevé. » «  Rien ma puce, t’inquiète ! » && un mensonge de plus s’ajouta à sa liste. Cela faisait maintenant trois mois que pour la protéger, elle et sa famille, Maximilian dealait. […] « Tu m’avais promis Max’ ! Ne jamais me mentir ! Tu l’avais juré. » C’est la fille qu’il aimait qui était en pleurs devant lui, mais il ne pouvait rien faire, ni la prendre dans ses bras, ni lui dire que ce n’était pas ce qu’elle croyait. Oui, car c’était bel et bien ce qu’elle croyait, elle l’avait vu dealer à la sortie des cours, la veille et se faire arrêter pas la Politiet, alors que cela faisait une semaine qu’il se faisait porter aux abonnés absents. C’était un mois plus tard, et malgré les efforts, Maxim avait changé, il n’était plus le même, et il s’était renfermé. Pour la protéger, qu’il disait. Mais au fond, il se sentait comme un lâche. «  Répond-moi quand je te parle ! » Les larmes sur ses joues redoublaient tellement qu’à ce stade, elle ne devait sûrement plus rien voir. « Tu veux que je dise quoi ?! Que je suis ravi d’en être arrivé à ce point ?! Maintenant, casse-toi ça vaut mieux pour toi ! » « M … Mais … » « Casse-toi, je t’ai dit » Ses talons se tournèrent. && là, une scène des plus cliché se déroulait sous les yeux du jeune homme, la rupture sous la pluie. Ce soir-là, il sortait de garde à vue, il s’était fait arrêté pour possession de drogue, trop petite quantité pour être enfermé en prison mais juste assez pour être arrêter et gardé au frais une journée. Sa mère avait dû payer une caution pour sortir, en rentrant trempé dans l’appartement familial, sa sœur lui sauta dans les bras. Il ne comprenait pas jusqu’au moment où il vit sa mère descendre du petit étage avec une valise et un sac. « Mamma ! » Une main s’abattu avec violence sur le visage du jeune homme. « Je n’ai plus de fils, il n’existe plus ! De la drogue ?! Tu deal de la drogue ! Hore, je pensais t’avoir mieux élevé que ça ! » La voix de sa mère s’élevais au fur et à mesure, les yeux de sa sœur s’embrumèrent tandis que son cœur lui, se brisait. « Tu pars chez Tomas, je ne veux plus te voir ! Tu prends un taxi maintenant, et tu te barre ! » Résigné le jeune blond pris ses sacs et sorti de l’appartement. Une dizaine de minutes plus tard, il était dans son taxi en direction de l’aéroport. « Je suis envoyé à Seattle, file-moi l’adresse de ton gars là-bas ! » L’homme qui reçut se SMS eu le rictus le plus affreux que l’on pouvait avoir, « T’inquiète pour l’adresse, je te l’envoie dans trois jours ! » Maximilian savait que s’il voulait se sortir de ses merdes c’était maintenant ou jamais, mais ce fus plus fort que lui, envoyé se message signifiais qu’il faisait partie de la « bande » et que sa famille serait saine et sauve. […] Quelques heures plus tard, Tomas, son père biologique le récupéra à l’aéroport. Une fois installé dans son nouveau chez lui, son père essayait de faire la conversation, mais ce n’était pas au gout du jeune homme. « Ecoute si je suis là c’est à cause de tes conneries et celle de ton frère, alors crois pas qu’on va devenir copain ! T’es rien pour moi, juste un nom sur un papier, ta famille n’es rien, tu ne me dois rien et inversement, toi et moi on est juste des colocataires. » Ce fut les seuls mots que prononça Maxim’ à son père. […] Alek, était dans un parc, oui à présent le garçon se faisait appelé Alek, il attendait sagement que le contact de Fuentes le contact. « Maximilian ?! » Par habitude, Alek leva le regard vers son correspondant, et d’un anglais peu assuré il répondit. « Maintenant c’est Alek, fais passer le mot ! » Le jeune lui sourit, celui-ci était à peine plus âgé que lui, ce qui le mit en confiance. « Très bien Alek, moi c’est Paco ! C’est Fuentes qui m’envoie, bienvenue à Seattle ! » Alek remercia le ciel d’avoir été aussi attentif à ses cours d’Anglais. Du coup il parlait assez bien malgré son accent très prononcé. Les deux jeunes apprirent à faire connaissance, Paco faisait visiter les endroits de Seattle, lui faisait un topo sur ses prochains clients, son école, beaucoup de ses nouveaux clients étaient dans son établissement scolaire.